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aminela1306 a écrit:comme on parle du message de MAME LIMAMOULAYE RASSOULOULAYE IMAMOUL MAHDI JE V2 VOUS MONTR2 CE QU IL A LAISS2 AVEC NOUS COMME REPERE ET COMME CHEMIN ET JE DEMANDE SI CELA SORT DU CORAN A VOUS DE VOIRE SI CELA N 2 PAS UNE SOLUTION DE NOS JOUR
SERMON 1
Au nom de DIEU clément et miséricordieux.
Louanges à DIEU qui créa les créatures et mit parmi les hommes ses Envoyés, et qui parmi eux choisit Mouhammad et le rendit supérieur à tous les Envoyés ; Il est le meilleur des créatures. Et de même, DIEU a fait de son peuple le meilleur des peuples…Que DIEU répande sur lui et sa famille et ses compagnons ses faveurs et la paix.
Ce message est adressé par Limamou Laye à tous ses adeptes et à tous les musulmans, hommes et femmes, adultes et jeunes. Que la paix soit avec vous et vos familles, ainsi que la miséricorde divine. Je vous salue et vous demande comment vont les affaires, comment vous portez-vous, comment va la maison, vivez-vous en paix ?
Je vous recommande de multiplier vos efforts pour obéir davantage à DIEU et à son Envoyé et pour raffermir votre foi. Ne faites, les uns pour les autres que du bien. Aimez-vous les uns les autres. La religion, c’est la disponibilité généreuse, c’est à dire la disponibilité à l’égard de DIEU, de son Envoyé, de son livre, des chefs religieux et de tous les musulmans. Être disponible à l’égard de DIEU, c’est reconnaître son unicité, exécuter ses commandements, s’éloigner de ce qu’il interdit et conseiller aux hommes d’agir dans le même sens. Être disponible à l’égard de son Envoyé, c’est croire en sa mission, l’attester, suivre ses commandements, abandonner ce qu’il interdit et pratiquer sa tradition. Être disponible à l’égard du livre de DIEU [le CORAN], c’est le lire et le relire souvent, et pratiquer ce qu’il prescrit. Être disponible à l’égard des chefs religieux, c’est les aimer, suivre leurs conseils, les aider dans les activités qui concernent la religion, et conseiller aux hommes d’adopter la même attitude a leur égard. Etre disponible vis à vis de tous les musulmans, c’est les aimer tous, car comme l’a dit l’Envoyé de DIEU (que DIEU répande sur lui sa bénédiction et la paix) : "le croyant doit aimer tous les croyants et ne doit en haïr aucun" et comme il l’a encore dit : "le vrai croyant doit vouloir pour son frère croyant, ce qu’il veut pour lui-même". L’Envoyé de DIEU (que DIEU répande sur lui sa bénédiction et la paix) a dit : "ne vous haïssez pas les uns les autres, déconseillez le mal, tissez entre vous de bonnes relations".
Je vous recommande de renforcer vos relations par l’amour, car les habitants du paradis s’aiment. Ecartez l’inimitié et la haine car vous êtes des frères. Sachez que le croyant a pour frère le croyant. Comme DIEU le Très Haut l’a dit : "les croyants sont tous frères, arrangez donc les différends de vos frères et craignez DIEU afin qu’il ait pitié de vous" (Coran Chap. 45, verset 10). Sachez ô vous les croyants que le croyant doit rester uni aux croyants, lesquels s’unissent à lui. Celui qui ne le fait pas, ne reçoit pas l’aide de DIEU.
Ne cherchez pas à vous surpasser les uns les autres dans l’acquisition des richesses de ce bas monde. Cherchez plutôt la concurrence dans l’obtention des richesses de l’autre monde. C’est ça qui procure la fortune éternelle et des honneurs élevés. Ne soyez pas avides des biens de ce bas monde, car ce monde-ci est [comme] un cadavre [impropre à la consommation]. Seuls les chiens et les vautours mangent un tel cadavre. Détachez-vous donc de ce bas monde, ne le suivez pas, car c’est une demeure qui va vieillir et disparaître. Or sa disparition est proche.
Méfiez- vous des ouï-dire et des "on a dit que… ". Car bien souvent ce qu’on raconte et ce qu’on entend ne correspondent pas à la réalité. Ne nourrissez à l’égard de vos frères que de bons soupçons. Evitez les mauvais soupçons. DIEU est à l’affût des soupçons de ses serviteurs.
Ne négligez pas d’évoquer le souvenir de DIEU partout où vous vous trouvez. Le rappel du souvenir de DIEU diminue les mauvaises actions et multiplie les bonnes. Or celui qui totalise beaucoup de bonnes actions et peu de mauvaises aura pour demeure le paradis, s’il plaît à DIEU. DIEU le Très Haut a dit : "Pensez à DIEU que vous soyez debout, assis ou couchés." (Coran, chap. 4, verset 10).
Méditez sur les prodiges de DIEU, tels que la création des cieux et de la terre. DIEU a ordonné que l’on multiplie son souvenir, car lui le Très Haut a dit : "répétez souvent le nom de DIEU et célébrez-le matin et soir. " (Coran, chap. 33, verset 41).
Pensez à DIEU, à tous les endroits, car ces lieux porteront témoignage en votre faveur le jour du jugement dernier.
Ne consommez et ne buvez que ce que vous avez honnêtement acquis, ne montez que sur ce qui est honnêtement acquis, ne portez que des vêtements honnêtement acquis. N’utilisez sur l’ensemble de tout ce qui peut vous servir, que des choses proprement acquises.
Ce qui est proprement acquis, c’est ce que vous avez gagné honnêtement. Le bien mal acquis sera la première chose que l’on déchirera du ventre de l’homme, le jour du jugement dernier. Un bien mal acquis peut gâcher une richesse, comme une cuillerée de sang peut souiller une calebasse de lait. C’est de cette manière qu’un petit bien mal acquis peut gâcher une grande richesse honnêtement gagnée. Le signe de la déchéance chez l’homme, c’est le fait de s’approprier tout ce qu’on a envie de posséder, sans se soucier de la manière honnête, malhonnête, ou obscure de l’acquérir.
Ô mes compagnons, hommes et femmes, je vous engage à vous laver moralement dans ce monde-ci, car il vaut mieux le faire ici que d’être soumis au lavage de l'autre monde. Comme DIEU l’a dit : "ils trouvèrent présent devant eux ce qu’ils avaient accompli" (Coran, chap. 18, verset 49).
Ceux qui prennent note des actes et des paroles [des hommes] demeurent vigilants à tout instant et ne laissent rien passer. Soyez pleins de zèle dans l’obéissance à DIEU et à son Envoyé, et repentez-vous à chaque instant. Regrettez ce qui est déjà passé, réparez ce qui peut l’être, et prenez de bonnes résolutions. Servir DIEU est un devoir de toute créature, car DIEU le Très Haut a dit : "Je n’ai crée les hommes et les djinns que pour qu’ils m’adorent" (Coran, chap. 51, verset 56). Il a encore dit, lui le Très Haut : "il ne leur a été demandé que d’adorer DIEU par un culte sincère." (Coran, chap. 98, verset 5). Adorez DIEU et ne vous laissez pas aller comme si vous étiez à l’abri des stratagèmes de DIEU. Seuls les perdants se croient à l’abri des stratagèmes de DIEU. Persistez corps et âme dans la crainte sincère de DIEU, et l’humilité. Craignez DIEU, craignez ses châtiments et ses calamités, et espérez obtenir sa miséricorde par l’intercession de la sainteté de son Envoyé (paix et bénédiction sur lui). Ne vous fiez pas au seul mérite de vos actes. Partagez votre cœur entre l’espérance en DIEU et la crainte de DIEU. Soignez avec précaution cette crainte de DIEU, comme en vérité, il se doit. Il a dit dans son livre : "la meilleure provision c’est la crainte de DIEU, craignez-moi donc ; vous qui êtes doués d’intelligence" (Coran, chap. 2, verset 196).
DIEU le Très Haut a encore dit : "adore ton DIEU jusqu’à ce que la mort vienne à toi. " (Coran, chap. 15, verset 99). Moi Limamou Lahi, qui vous parle, sachez que tout ce que je vous conseille pour l’accomplissement du bien par le corps et par la parole, tout cela, s’il plaît à DIEU, je le pratique à tel point que vous ne pourrez pas faire autant. Prenez exemple sur moi et prenez exemple sur mes actes et mes paroles. Si vous le faites complètement, je vous conduirai dans la voie du salut. Je vous recommande d’éviter la médisance, la calomnie, le mensonge, la trahison et le fait de raconter beaucoup de choses sur quelqu’un que vous n’aimez pas. Evitez la jalousie, la haine, l’orgueil et l’ostentation. Purifiez vos œuvres en les consacrant à DIEU. L’Envoyé de DIEU (bénédiction de DIEU et paix sur lui) avait dit à ses compagnons : "ne haïssez pas, ne soyez pas jaloux les uns des autres, ne vous éloignez pas les uns des autres, ne vous provoquez pas et évitez de vous humilier les uns par les autres. Soyez frères, vous les serviteurs de DIEU". Moi aussi je ne vous recommande rien d’autre que cela.
Je vous recommande la pratique régulière de la prière. La première chose sur laquelle on questionnera l’homme, le jour du jugement dernier, c’est l’accomplissement de la prière, ainsi que le respect de ses règles et conditions d'exécution.
Je vous recommande de vous occuper de vos familles. Chacun de vous est un berger, or le berger est responsable de ce dont il est le gardien. Au chef d’un pays, on demandera des comptes sur la manière dont il a gouverné son pays. Au juge on demandera des comptes sur les affaires du village. Au père de famille, on demandera des comptes sur sa famille. Au possesseur d’une chambre, on demandera des comptes sur l’utilisation de cette chambre. A la femme, on demandera des comptes sur le respect de la chambre de son mari et de son lit. On demandera au serviteur de rendre compte de la manière dont il s’est occupé des affaires de son maître. De même, les différentes parties du corps de l’homme donneront un témoignage sur ce qu’on a fait.
Je vous recommande donc le bon accomplissement de vos devoirs familiaux. Un père de famille défaillant sera accusé par les membres de sa famille devant DIEU le Très Haut. Ils diront "Ô notre DIEU, celui là était notre chef, mais il ne nous a jamais conseillé d’adorer DIEU, prends donc sur lui les préjudices qu’il nous a ainsi causé". On évaluera alors l’étendue des préjudices, et on déduira le tout de la somme des biens qu’il possède. S’il n’en possède pas, on puisera sur les péchés des membres de sa famille une quantité équivalente aux préjudices, pour l’ajouter à ses propres péchés. Si les membres de sa famille en arrivent à cela, c’est à cause de l’aveuglement et de la frayeur qui les frappent, à la vue de l’enfer, de ses supplices, de ses flammes et étincelles, tandis qu’ils ne savent pas comment en être sauvé. Voilà pourquoi, on prélève sur le père de famille les préjudices résultant du fait qu’il n’a pas conseillé ou éduqué les membres de sa famille. De même, des femmes diront : "Ô mon DIEU, celui- là était mon mari sur terre, il me battait pour m’imposer le respect de son lit, mais il ne m’a jamais battu pour manque d’obéissance à DIEU et à son envoyé, ou pour manque de pratiquer les prières, le lavage rituel, les ablutions et le jeûne ; il ne m’a jamais interdit la danse, les chansons frivoles, le bavardage et les injures ; Ô mon DIEU prends sur lui les préjudices qu’il m’a ainsi infligé". Les fils diront aussi : "Ô notre DIEU, prends sur notre père les préjudices qu’il nous doit : il ne nous avait pas donné un nom qui figure parmi les noms des saints, il ne nous a pas éduqués, il ne nous a rien fait savoir du livre de DIEU ; il ne nous avait pas interdit ce que DIEU interdit ; il ne nous avait pas conseillé la pratique des commandements de DIEU ; il nous avait abandonnés et laissés l’entière liberté de faire le mal, Ô mon DIEU prends donc sur lui les préjudices qu’il nous a infligés". Les esclaves, hommes et femmes diront : "Ô notre seigneur, celui- là fut notre maître sur terre, il nous ordonnait de travailler, nous chargeait de commissions pour la satisfaction de ses propres besoins, et se montrait hautain à notre égard, mais il ne nous a jamais ordonné d’obéir à DIEU et à son Envoyé, et lorsque nous avions fini de travailler pour lui, il nous laissait l’entière liberté de faire ce que nous voulions : il ne nous a rien fait savoir sur les commandements de DIEU, il ne nous avait pas interdit ce que DIEU interdit, Ô notre Seigneur prends sur lui les préjudices qu’il nous ainsi infligés".
DIEU est un souverain juste. A chaque créature il paiera ce qui lui est dû comme préjudice, le jour du jugement dernier, de sorte que nul ne devra plus rien à personne, il n'y aura, de même, le jour du jugement dernier, des préjudices qui peuvent résulter pour vous, de tout ce que vous possédez : moutons, chèvres, chevaux, chameaux, volaille ou toute autre chose. Or chaque responsable d’un préjudice subira le prélèvement de la valeur du dommage qu’il a causé, car DIEU s’est interdit à lui même l’injustice et décrété son interdiction parmi ses serviteurs, or DIEU sait tout et n’oublie rien. Tout ce que vous avez fait se trouve conservé dans le livre de DIEU (Lawil Makhefous) jusqu’au jour du jugement dernier. C’est un jour à craindre, les secrets seront divulgués, celui qui possède à son actif une bonne action en aura jouissance, par contre celui qui possède à son passif une mauvaise action en pâtira.
Soyez prompts à vous repentir ; n’hésitez pas trop lorsqu’il s’agit d’accomplir le bien. Que celui qui a l’intention de faire du bien fasse vite avant que l’occasion n’échappe. Par contre, que celui qui est sur le point de faire du mal se donne des délais, afin qu’il puisse entre temps abandonner son projet. DIEU inspire la pratique de bonnes œuvres à celui qu’il veut combler de ses faveurs. Soyez patients, et supportez-vous les uns les autres avec patience. Unissez-vous, craignez DIEU afin que vous fassiez partie des bienheureux, et que vous soyez sauvés des supplices douloureux et violents de DIEU.
Je vous recommande de circoncire les jeunes garçons et de marier les jeunes filles, car la mort vous cherche à chaque instant. Or la mort est un lot réservé à tout vivant. DIEU le Très Haut a dit : "toute âme goûtera à la mort" (Coran, chap. 4, verset 10) (Coran, chap. 55, verset 24). Or la mort ne vient que par surprise, elle interrompt les projets d’avenir, rend orphelins les enfants, elle finit par disperser les groupes (d’amis, de parents ou autres). Or la mort est un breuvage de regret que boira toute âme. Après l’avoir bu, celui qui pratiquait de bonnes œuvres regrettera de n’avoir pas fait d’avantage de bien. Celui qui faisait le mal regrettera aussi, là où les regrets n’ont aucune utilité. La mort séparera ceux qui s’aiment : deux époux, la mère et son enfant, deux amis, deux intimes. Elle réduira toute maison en ruine. Nombreux sont les pays ou grandes villes et villages qui ont fini par être des lieux déserts. Nombreux sont ces lieux abandonnés qui furent avant leur décadence remplis de monde, de beaux bâtiments et maisons que la mort a fini par anéantir.
Rappelez-vous le jour où DIEU ordonnera à Asrafil de souffler dans la trompette. Ce jour-là, dès qu’il aura soufflé, nul ne manquera à l’appel ; les anges, les hommes, les djinns et les autres créatures, tous se réveilleront et se tiendront debout. C’est le jour où on verra les cheveux d’un enfant blanchir à cause de la frayeur. Craignez donc ce jour et faites de bonnes œuvres pour ce jour. Celui qui aura devant lui ses bonnes œuvres en sera plein de joie. Tous les Envoyés de DIEU, tous les saints et tous les connaisseurs de DIEU craignent ce jour-là. Ce jour, une femme qui allaiterait un enfant serait aveuglée au point de ne plus reconnaître cet enfant, une femme enceinte subirait un avortement à cause de la frayeur. On verra des gens agités par une ivresse due non pas à la boisson, mais à l’intensité en eux des supplices de DIEU.
Sachez qu’il est du devoir de tout chef religieux de pratiquer avec ferveur les commandements de DIEU et de son Envoyé, et de conseiller à ses adeptes d’en faire autant. Il doit leur inspirer la crainte des supplices de DIEU, leur rappeler constamment DIEU, les avertir, les exhorter à s’éloigner du mal. Il ne doit pas chercher à obtenir de ses adeptes des avantages qui lui importent plus que leur pratique des commandements de DIEU et de son Envoyé. Celui qui appelle les hommes vers DIEU, qui prétend détenir une voie droite, qui cherche à avoir des adeptes et qui se soucie surtout de s’enrichir auprès d’eux, ou un chef religieux qui laisse ses adeptes se conduire selon leur bon plaisir, sans qu’il les avertisse, ou qui leur promet le salut dans l’autre monde sans que cela soit par leur pratique des commandements de DIEU et de son Envoyé, est un homme qui s’est précipité lui-même dans la colère de DIEU. Et il a en outre égaré et condamné ses adeptes. Ceux-ci réclameront le jour du jugement dernier le prélèvement sur leur chef religieux du montant des préjudices qu’ils ont subis. Mais ils pourront le faire que s’ils ignoraient les mensonges de leur guide. En effet s’ils avaient suivi ce guide, connaissant ses mensonges, ou s’ils l’ont suivi parce qu’ils appréciaient la légèreté de ses principes et son indulgence à l’égard de leurs péchés alors ils ne leur servira à rien de réclamer un dédommagement ; car ils sont comme leur chef, des chacals destructeurs.
Ô vous croyants, craignez DIEU, craignez la mort et l’ivresse de l’agonie ainsi que la violence de l’extraction de l’âme (du corps du mourant). Craignez l’obscurité de la tombe, l’interrogation faite par les anges, les supplices à l’intérieur de la tombe, la pression qu’exerce la terre ainsi que la longue durée du séjour dans la tombe jusqu’au jour du jugement dernier. Craignez le moment où l’on ressuscitera, la terreur du jour du jugement dernier, le pont Sirât, ainsi que l’enfer et les supplices réservés aux mécréants et aux hypocrites. Voilà des paroles qui suffisent pour convaincre.
Nul n’échappera à la mort. La terre avalera tout ce que vous enfanterez. Tout ce que vous amasserez comme richesse reviendra à vos héritiers. Lavez-vous et devenez propres [purification intérieure] ; il y a dans ce monde-ci, de l’eau et du savon. Si vous suivez ce que je vous dis, vous en verrez l’utilité demain dans l’autre monde. Si vous ne le suivez pas, vous ne nuirez qu’à vous-mêmes. Vous ne pouvez en aucune façon nuire à DIEU. Moi je suis un donneur de directives, or DIEU le Très Haut a dit dans son livre : "Celui qui est un Envoyé n’a d’autre devoir que de transmettre. Or moi, j’ai transmis. Celui qui sera rebelle et aura préféré la vie présente, aura pour demeure l’enfer. (jahim). Celui qui aura redouté le moment de sa présence devant DIEU, et éloigné son âme des jouissances, aura le paradis pour demeure." (Coran, chap. 79, versets 37 à 40). Sachez que notre temps est agité, cela signifie la fin des temps. Prenez comme exemple une eau qui s’épuise, ce qui reste au fond du récipient est toujours trouble.
Donnez fréquemment l’aumône, car l’aumône écarte les calamités et les accidents malheureux. Elle attire la fortune, et le jour du jugement dernier, elle constituera une ombre pour abriter celui qui donnait l’aumône. Il est écrit dans le livre de DIEU : "l’homme ne récoltera que le fruit de son action" (Coran, chap. 53, verset 40). Votre richesse ne peut vous être utile que par la portion qui a servi à vous nourrir, la portion qui a servi à vous habiller et la portion que vous avez investie pour demain dans une œuvre consacrée au service de DIEU.
Fatiguez votre corps par la pratique de la prière et du jeûne. Purifiez vos richesses par le paiement de l’impôt (la zakat). DIEU a dit : "accomplissez la prière et payez l’impôt " (Coran, chap. 2, verset 4). La prière est le pilier de la religion. Celui qui l’accomplit régulièrement en respectant ses conditions d’exécution et ses modalités telles que ses stations debout, ses génuflexions, ses prosternation et ses invocations. Celui-là a consolidé la religion de DIEU. Par contre celui qui sous-estime la prière est un destructeur de la religion de DIEU. Cependant les prières de celui qui ne paie pas la zakat de sa fortune ne seront pas agréées.
Tâchez de conseiller constamment la pratique de bonnes œuvres et de déconseiller les actions mauvaises, car comme l’a dit l’Envoyé (bénédiction et paix de DIEU sur lui ) : ceux qui conseillent la pratique du bien et déconseillent le mal sont ceux qui seront le jour du jugement dernier assis sur des fauteuils moelleux, à l’ombre du trône.
Entraidez-vous, soyez patients et indulgents les uns à l’égard des autres, instaurez la paix entre vous, soyez cléments les uns envers les autres et soyez généreux les uns pour les autres. DIEU est à l’égard des croyants très cléments : "celui qui aura fait le bien du poids d’un atome le verra et celui qui aura commis le mal du poids d’un atome le verra aussi" (Coran,chap. 99, verset 7 et 8 ).
Que DIEU ait pitié de vous, qu’il vous accorde le salut et la paix et qu’il vous guide dans le droit chemin. Amen.
Que la bénédiction de DIEU et le salut soient sur Mouhammad, sur sa famille et ses compagnons.
Je crois que ce sermon de notre bien aimé Imamou Al Mahdiyou Mouhammad lahi est un conseil pour tous les musulmans, hommes,et femmes en nous rappelant à tous nos obligations envers notre Dieu, son Messager, sa communauté.
A chacun de méditer sur ces conseils qui ne font que nous engager davantage sur la droite ligne de l'Islam.
aminela1306 a écrit:vous savez un imposteur n insite pas les personnes a craindre DIEU si vous lisez bien le sermon vou allez voous rendre compte que ce mesage doit est claire et personne n a encore ecrit une telle chose bien ecrit et bien explique
comme l abien dit cisseJe crois que ce sermon de notre bien aimé Imamou Al Mahdiyou Mouhammad lahi est un conseil pour tous les musulmans, hommes,et femmes en nous rappelant à tous nos obligations envers notre Dieu, son Messager, sa communauté.
surtoutA chacun de méditer sur ces conseils qui ne font que nous engager davantage sur la droite ligne de l'Islam.
aminela1306 a écrit:comme on parle du message de MAME LIMAMOULAYE RASSOULOULAYE IMAMOUL MAHDI JE V2 VOUS MONTR2 CE QU IL A LAISS2 AVEC NOUS COMME REPERE ET COMME CHEMIN ET JE DEMANDE SI CELA SORT DU CORAN A VOUS DE VOIRE SI CELA N 2 PAS UNE SOLUTION DE NOS JOUR
SERMON 2
Au nom de DIEU clément et miséricordieux.
Louanges à DIEU qui nous jugera et ne sera point jugé. Qu’il répande ses faveurs et la paix sur le noble Envoyé, l’élu, Seydina Mouhammad, que DIEU augmente pour lui sa bénédiction et sa sécurité.
Moi Limamou Lahi, j’adresse à vous, mes amis et mes intimes, mes salutations et implore pour vous et vos familles la grâce de DIEU et sa bénédiction. Je vous salue et vous demande comment vont vos affaires, vos familles, vos voisins, comment prospèrent vos puits, vos champs, vos vêtements, vos ustensiles, votre eau, etc. ? Je vous demande aussi comment marche la surveillance que vous devez exercer sur vos femmes, vos enfants, vos serviteurs et vos biens, pour les empêcher de commettre une faute, une injustice ou de porter préjudice à autrui ? Comment les exhortez-vous à apprendre les commandements de DIEU, à éviter ses interdits et à s’intéresser aux œuvres religieuses ? Et comment subvenez-vous à leurs besoins alimentaires et vestimentaires, au logement et aux autres besoins ? Et comment les traitez-vous, avec douceur et avec indulgence lorsqu’ils tombent dans certaines défaillances.
L’Envoyé de DIEU (bénédiction de DIEU et paix sur lui) a dit : " tout homme qui se montre patient et indulgent à l’égard du mauvais caractère de sa femme, recevra de DIEU la récompense qu’il réserva au prophète Ayoba (paix sur lui), après l’épreuve de sa maladie ". Ayoba était si malade que les vers se déplaçaient d’un endroit à un autre et se nourrissaient de sa chair et de son sang, et cela pendant dix huit ans. Puis, finalement, DIEU le ramena à la paix et à la bonne santé et le revêtit de vêtements superbes de satin et de soie, le couronna d’une couronne d’or. C’est après la guérison de la maladie que DIEU le Très Haut lui accorda tout cela, d’un seul coup, de par sa puissance.
De même, toute femme qui supporte avec patience le mauvais caractère de son mari recevra de DIEU la récompense qu’il a donné à Rahmata, épouse de Ayoba (paix sur lui). Rahmata était celle qui avait supporté patiemment toute la durée de l’épreuve subie par Ayoba, après que celui-ci fut abandonné par ses autres épouses. Elle portait Ayoba sur son dos, comme on porte son enfant et le transportait dans les villes et les campagnes. Elle louait ses services et nourrissait Ayoba avec son salaire, pendant toute la durée de sa maladie. Elle n’a jamais cessé d’être patiente, d’être volontaire et d’espérer en DIEU pour son mari, jusqu’au moment où DIEU guérit la maladie de son mari et le ramena à son ancienne prospérité. Ce changement est intervenu en l’absence de son épouse qui était allé en ville louer ses services pour gagner de quoi nourrir Ayoba. Quand elle revint, elle trouva celui-ci dans l’honneur et l’opulence avec sa couronne d’or et ses vêtements de soie. Elle ne le reconnut pas. Elle lui dit : "n’avez-vous pas vu ici un homme accablé d’épreuves ?" Il lui répond : "quel est le lien qui vous unit à celui que vous cherchez ?" C’est mon mari, répondit-elle. Ne me reconnais-tu pas, lui dit Ayoba. Je soupçonne bien que c’est toi, lui dit sa femme. C’est bien moi, lui dit Ayoba, DIEU de par sa puissance et sa bonté m’a ramené à la bonne santé.
Sachez, ô vous, femme du peuple de Mouhammad, que celles parmi vous qui supporteront avec patience leur mari recevront de DIEU la récompense qu’il attribua à Rahmata, épouse de Ayoba (paix sur lui).
Nous louons DIEU, Souverain de toutes les créatures pour ses actes. DIEU a dit dans son saint livre : " les persévérants recevront une récompense qui ne sera pas mesurée" (Coran, chap. 39, verset 13).
Je vous fais savoir que je m’adresse à vous pour vous rendre visite, à la manière de la visite que le guide rend à son disciple. Si le disciple passe la nuit à un endroit, sur l’ordre de son maître, celui-ci doit, le matin, aller lui rendre visite pour savoir comment il a passé la nuit et comment il s’est réveillé ; puis il lui indique ce qu’il doit faire durant la journée, les limites de son travail et l’endroit où il doit passer la journée en lui faisant connaître les bonnes actions et lui interdisant les mauvaises.
Je vous rends donc visite, autant que doit le faire le berger qui veille sur ce qu’il garde. En effet, le berger qui a attaché ses animaux dans l’étable et qui est allé passer la nuit ailleurs doit, le matin, aller leur rendre visite pour voir s’ils ne sont pas détachés.
Je vous rends visite à propos de vos champs de ce bas monde et de l’autre monde, de ceux qui concernent votre vie et de ceux qui concernent votre mort. J’observe comment vous vivez, comment vous vous comportez vis à vis des soucis de ce bas monde, de ses peines, de vos projets et comment vous favorisez l’observance des commandements de DIEU comme la propreté par (les ablutions et le lavage rituel), par la prière, le jeûne. J’observe comment, en ce bas monde, vous vous purifiez par l’abondance de l’évocation du souvenir de DIEU, à toute heure, par l’abondance de la lecture du Coran, par l’abondance de la formulation de la prière pour le prophète (Salatou a la Nabi ), par la fréquence de bons conseils que vous donnez pour faire le bien et éviter le mal, et par la fréquence de vos méditations sur les merveilles réalisées par DIEU comme la création des cieux, de la terre, des montagnes, des végétaux, des mers, des fleuves et d’autres choses.
J’observe vos prières et les conditions dans lesquelles vous les pratiquez, comme la rapidité à répondre à l’appel (muezzin) pour vous rendre à la mosquée, ce que vous dites devant la porte de la mosquée, la manière de vous tenir debout dans la alignements, la manière de débuter la prière par la prononciation de la grandeur de DIEU, l’humilité de votre comportement, la bonne exécution des génuflexions, des prosternations, des retours à la station debout, des positions assises, des récitations, de toutes les phases de la prière, de la salutation finale et puis j’observe comment vous évoquez le souvenir de DIEU, comment vous priez pour le prophète (bénédiction de DIEU et paix sur lui), comment vous implorez votre seigneur, comment s’adressant à lui vous vous faites humbles, et comment est votre patience dans l’attente de son aide.
Sachez que toutes les bonnes œuvres se trouvent réunies dans la prière, car la prière constitue le pilier de la religion. Celui qui la valorise honore la religion, celui qui la dévalorise, déconsidère la religion. DIEU le Très Haut a dit : " la prière préserve des turpitudes et des mauvaises actions " (Coran, chap. 29 verset 45).
Je vous rends visite aussi, à propos, de vos langues, de leurs paroles et de leurs silences et à propos de vos yeux, de leur regard et de leur refus de regarder, car DIEU le Très Haut a dit à l’illustre Envoyé dans son livre : [ô noble Prophète] " commande aux croyants de baisser leurs regards et de protéger leur chasteté… dis aussi aux femmes qui croient de baisser leurs regards, de protéger leur chasteté, et de ne laisser voir de leurs parures que ce qui est à l’extérieur, de rabattre leur voile sur leur poitrine et de ne montrer leurs parures qu’à leur mari, ou à leur père ou père de leur mari… " (Coran, chap. 24 verset 13).
Je vous rends visite aussi à propos de vos déplacements et de vos repos ; je vous recommande de ne vous déplacer que vers un but louable et de vous abstenir de sortir lorsque cela peut permettre d'éviter un mal. Soyez promoteurs de la bonne entente et non des destructeurs [des bonnes relations]. Observez vos propres défauts plutôt que ceux des autres. Celui qui cherche à dévoiler les vices des autres risque de voir les siens étalés au grand jour.
Je vous rends visite aussi à propos de toutes les parties de votre corps et de vos actes. Rendez vos actes aussi beaux que possible, plutôt que de les avilir. Si vous pensez que moi, je ne connais pas, je ne vois pas [ce que vous faites] et ne suis pas proche [de vous], sachez que DIEU le Souverain est connaissant, voyant et proche, et il paiera à chaque âme ce qu’elle a accompli. Que celui qui, demain, récoltera du bonheur rende grâce à DIEU de ses faveurs et de sa bonté. Par contre, celui qui récoltera des malheurs ne devra s’en prendre qu’à lui-même.
Je vous invite aussi à méditer ces moments de maladie, où couché, vous vous tordez de souffrance, pour ensuite délirer, être saisi d’angoisse, avec un corps chaud ou froid ; ces moments où la guérison demeure votre unique souhait.
Je vous invite à méditer sur l’instant de l’extraction de l’âme [du corps] ; elle se retire du corps à partir des doigts de la main et monte jusqu’au cou, les yeux se tournent alors vers le haut, les mains se crispent, la soif vous saisit, le corps perd sa force, la voix s’affaiblit, le regard devient plus intense, l’âme ayant dépassé la poitrine, celle-ci gonfle, les pieds deviennent froids, [méditez] l’arrivée de l’ange de la mort, la peur qu’il inspire à ceux qui seront damnés, son regard, sa grande taille, la rougeur de ces deux yeux, la longueur de la lance qu’il tient, ses assistants qui l’accompagnent, ils sont grands et très puissants.
Je vous invite à méditer ces instants, autant que celui qui aime peut inviter celui qu’il aime à le faire. J’observe comment sort votre âme, je vous observe au moment où on vous lave le corps, j’observe la manière de vous soulever, de vous retirer de votre lit de mort par quatre ou six personnes. Votre corps sera plié, déplié, assoupli et posé sur le lieu du bain final, tandis que vous demeurez inanimé.
Je vous invite à penser à l’entrée dans la tombe, à l’instant où on vous couche au bord du fossé, à la pose des planches, à l’instant où l’on dénoue les liens [qui maintenaient] vos habits mortuaires, à l’arrangement des planches et de la paille posée sur elles, à l’entassement du sable sur la tombe et au retour de ceux qui accompagnaient le défunt. Ce dernier demeure, alors seul dans sa tombe avec la somme de ses œuvres. S’il s’agissait de bonnes œuvres, il devient heureux et joyeux, et constate alors la véracité des paroles de l’Envoyé de DIEU en ce qu’il avait dit : le repos des pieux c’est la mort. S’il s’agissait de mauvaises œuvres, la tristesse, l’angoisse, le saisissent, il pleure car ses œuvres constituent pour lui un supplice qui le torture jusqu’au jour de la résurrection.
Je vous invite à méditer l’interrogation des deux anges dont les noms sont Mounkar et Nakir. Tous les deux sont énormes, ils sont noirs, leurs yeux sont grands et logés dans une seule orbite. Chacun d’eux possède une massue si lourde que les hommes et les djinns réunis ne pourraient la remuer. Or cette massue est dans la main de chacun d’eux plus légère qu’une plume d’oiseau. Et je jure par DIEU que ces anges ne sont cléments qu’à l’égard de celui qui bénéficie de la clémence de DIEU, par l’intercession de la sainteté de l’Envoyé [bénédiction et paix sur lui]. Ces anges font asseoir le mort, l’interrogent sur l’unicité de DIEU et la véracité de la mission de l’Envoyé de DIEU, Mouhammad. Si la réponse est : "j’atteste qu’il n y a d’autre DIEU qui mérite un culte en toute vérité que le DIEU unique qui n’a point d’associé et j’atteste que Mouhammad est son serviteur et son Envoyé. ", ils le mettent à l’aise, lui facilitent les choses, se montrent accueillant à son égard, le respectent, l’honorent et l’aiment. Puis ils s’en retournent et le mort demeure dans les faveurs accordés par DIEU jusqu’au jour du jugement dernier. Si par contre, il n’atteste pas l’unicité de DIEU et la véracité de la mission de Mouhammad, il se trouve envahi par la peur, l’aveuglement et la consternation, ils lui font subir un supplice violent, ils le battent avec une telle intensité que le lait qu’il avait tété du sein de sa mère sort de lui, ils l’abandonnent ensuite dans de violentes tortures qui durent jusqu’au jour de la résurrection.
Je vous invite à penser au jour de la résurrection, à l'instant où vous secouez le sable qui tombe de votre tête, au moment où l’on conduira les hommes vers l’endroit où ils se tiendront debout. Certains d’entre eux seront battus, d’autres seront transpercés, d’autres ligotés, d’autres verront leurs poitrines transpercées de part en part avec leurs propres mains, d’autres seront rendus aveugles, d’autres rendus muets, d’autres rendus sourds, certains atteints d’éléphantiasis, d’autres seront rendus lépreux, d’autres seront ivres au point de ne pouvoir tenir debout, d’autres seront torturés. Ce jour est un jour terrible. Nul ne se souciera de personne, chacun sera suffisamment préoccupé par ses propres affaires sauf le Noble Envoyé Mouhammad [bénédiction de DIEU et paix sur lui].
Je vous rappelle votre marche vers le lieu de rassemblement. Ce jour sera terrible, obscur et long. C’est le jour de l’inquiétude. C’est le jour des regrets, le jour de la soif, de l’infamie, de la honte, de la faillite, le jour des pleurs, le jour des tentatives de tromperie, le jour des rencontres et des séparations aussi. C’est le jour où seront dévoilés les vices : ce jour les hommes seront appelés à se ranger derrière leur tête de file. Chacun se rangera derrière celui qu’il suivait dans ce monde, et en qui il croyait. C’est en ce jour qu’apparaîtra la supériorité du meilleur des créatures, Mouhammad, de ses saints et de son peuple.
Je vous rappelle le jour de la longue station debout, et l’instant de la pose de la balance ; celui dont les bienfaits pèseront lourds sera parmi les bienheureux, il sera sauvé et sera envahi par une grande joie. Celui dont les méfaits pèseront lourd sera parmi les damnés, sera couvert de honte, tombera dans la faillite, l’aveuglement, car DIEU le Très Haut a dit : "ceux dont les bienfaits seront lourds seront les bienheureux, ceux dont les bienfaits seront légers seront ceux qui auront perdus eux-mêmes ". (Coran, chap. 7, verset 8 et 9 ) .
Je vous rappelle aussi le vol des livres lancés vers leurs destinataires. Celui dont le livre lui parvient par le côté droit sera parmi les bienheureux, sera joyeux et sera sauvé, celui dont le livre descend par son côté gauche aura le visage crispé de tristesse et pleurera. Chaque livre contient les œuvres de son propriétaire. Notre Seigneur ne fera tort à personne ; et en cet endroit nul ne pourra faire du tort à personne.
Je vous rappelle aussi Sirât qui est tendu au-dessus de la Géhenne dont le feu sera allumé, elle brûlera, lancera des fumées, s étirera avec force, sera furieuse contre celui qui aura désobéi à notre Seigneur et s’empressera de le torturer, car DIEU le Très Haut a dit : " la géhenne brûlera avec force, peu s’en faut que de rage elle n’éclate. "(Coran, chap. 67, versets 7 et 8 ).
Je jure par DIEU que quiconque descendra de Sirât sera précipité dans la Géhenne, or à l’intérieur de ce feu se trouvent des serpents, des scorpions, des recoins et des supplices innombrables, qu’on ne peut pas retenir par cœur. On a beau vous énumérer les supplices de la Géhenne, il en restera toujours d’autres qu’ignore celui qui n’y est pas entré. Que DIEU nous en préserve.
Sirât est un pont tendu au-dessus de la Géhenne. il est plus mince qu’un cheveu, plus tranchant qu’un sabre, plus chaud qu’une braise et plus mobile qu’un serpent. Sa longueur correspond à trois mille ans de marche. Or nul n’entre au paradis sans franchir Sirât.
Je vous rappelle votre arrivée devant le lac de l’Envoyé de DIEU. Celui qui boira l’eau de ce lac n’aura plus jamais soif. Celui qui avait troqué la saine pratique de la religion contre les innovations ou contre la magie ou contre autre chose ne boira pas l’eau de ce lac.
Si vous désirez le salut, purifiez votre culte voué à DIEU, pour l’amour de DIEU et de son Envoyé. Demeurez constant dans ces pratiques pures même si elles sont assez réduites. Ne mêlez pas à vos pratiques religieuses le mensonge, l’escroquerie, la débauche, l’innovation, la magie, serait-elle une magie par l’écriture. Ne deviez pas vers les gens qui s’adonnent à ces choses, car vous seriez demain déchus et perdants.
Je vous rappelle aussi votre arrivée devant la porte du paradis, le repos qui sera désormais le vôtre, la rapidité avec laquelle boissons et aliments vous seront servis, la disparition de toutes les sensations de fatigue, après que vous aurez mangé le foie de Bakhemaute, ainsi que la disparition de tout mal, des soucis, des sentiments de haine, d’hostilité et de jalousie. Il ne restera plus dans vos cœurs que l’amour, le bonheur et la joie. Je vous rappelle aussi votre séjour à l’intérieur du Paradis, la demeure où l’on est comblé de faveurs, où existent de superbes maisons et des commodités.
Je vous rappelle votre rencontre avec vos épouses, avec les filles et femmes du paradis, votre entrée dans les palais et les lits élevés.
C’est là que tout besoin sera satisfait.
Sachez que je suis votre ami, je ne vous quitterai pas jusqu’à votre entrée dans le paradis.
Après y avoir passé un long séjour vous m’oublierez et vous oublierez DIEU.
Que DIEU vous fasse bénéficier de sa miséricorde .
Que DIEU assure votre sécurité.
Que DIEU fasse que vous soyez droits.
Bénédiction de DIEU et paix sur Mouhammad, sur ses proches et ses compagnons.
Amen.
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J’observe vos prières et les conditions dans lesquelles vous les pratiquez, comme la rapidité à répondre à l’appel (muezzin) pour vous rendre à la mosquée, ce que vous dites devant la porte de la mosquée, la manière de vous tenir debout dans la alignements, la manière de débuter la prière par la prononciation de la grandeur de DIEU, l’humilité de votre comportement, la bonne exécution des génuflexions, des prosternations, des retours à la station debout, des positions assises, des récitations, de toutes les phases de la prière, de la salutation finale et puis j’observe comment vous évoquez le souvenir de DIEU, comment vous priez pour le prophète (bénédiction de DIEU et paix sur lui), comment vous implorez votre seigneur, comment s’adressant à lui vous vous faites humbles, et comment est votre patience dans l’attente de son aide
j'observe
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