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[coolmiss]

Dans le cadre de la campagne de sensibilisation « Faire reculer le paludisme », des stars du football africain comme l’Ivoirien Didier Drogba ou le Nigerian Peter Odemwingie ont enregistré des spots radiotélévisés qui seront diffusés dans l’ensemble de l’Afrique.

« Faire reculer le paludisme »

Ces initiatives font partie d’une campagne de sensibilisation du public organisée par le partenariat « Faire reculer le paludisme » établi en 1998 par la Banque mondiale, l’Organisation mondiale de la santé, le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF) et le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD).

Rappelons que le paludisme est une maladie parasitaire potentiellement mortelle transmise par des moustiques. Appelé aussi malaria, elle prend la forme d’une parasitose, due à un protozoaire transmis par la piqûre d’un moustique, l’anophèle, qui provoque des fièvres intermittentes. Il est la cause de 1 à 3 millions de décès chaque année dans le monde, principalement dans les régions tropicales et en Afrique sub-saharienne. Même s’il n’existe pas de vaccin contre le paludisme, la maladie est évitable et traitable. Pourtant on estime que, toutes les 30 secondes, elle coûte la vie à un enfant africain.

bonne idée drogba

[Moye]

Le paludisme est responsable d’un lourd fardeau économique en Afrique subsaharienne aussi bien en terme de revenus immédiats qu’en terme de croissance économique et bien de développement à long terme. Il entraîne une réduction de la productivité, une baisse du PNB, et contribue de ce fait à l’aggravation de la pauvreté.
Cet impact économique s’est considérablement alourdi ces dernières décennies après l’échec des tentatives d’éradication.
Dans le passé les études menées avaient sous-estimé ce fardeau économique car ne tenant pas compte de la complexité de la maladie et des ses conséquences multiformes.

L’impact négatif du paludisme sur l'économie a très largement été démontré dans les pays de l’Afrique subsaharienne.
Les pertes annuelles sont estimées à 1,3 points sur le pourcentage de la croissance économique. Lorsque ces pertes sont agrégées pendant 15 ans, le niveau du PNB lors de la 15ème année est réduite par environ 1/5 (20%) et les pertes augmentent avec le temps. Pour l’Afrique Subsaharienne en général ces pertes sont estimées à 10% des revenues (Réf. Etude de J. SACKS).
Le paludisme est responsable au Sénégal de plusieurs jours d’absentéisme scolaire, et d’une perte considérable de journées de productivité. Mais aussi sur le plan social les enfants qui survivent du paludisme peuvent conserver des séquelles. Les accès répétés de fièvre et de maladie les privent d’occasion d’avoir des contacts sociaux et de s’instruire ; on note souvent des troubles de

[fofana]

si vous voyez que le paludisme n'est pas encore réellement combattu par les nations qui en ont les moyens, c'est parce que cette maladie ne touche que les pays pauvres. mais ça commence à changer. le réchauffement climatique des pays jusque ici tempérés fait que les moustiques sont de plus en plus présents au sud de la france, espagne et portugal. quand ces connards tomberont comme les paludéens africains, l'énorme richesse dont ils disposent sera utilisé pour combattre cette maladie.

[hadamarémé]

si vous voyez que le paludisme n'est pas encore réellement combattu par les nations qui en ont les moyens, c'est parce que cette maladie ne touche que les pays pauvres. mais ça commence à changer. le réchauffement climatique des pays jusque ici tempérés fait que les moustiques sont de plus en plus présents au sud de la france, espagne et portugal. quand ces connards tomberont comme les paludéens africains, l'énorme richesse dont ils disposent sera utilisé pour combattre cette maladie.

Salam! Wallahi tu vas me tuer de rire:"...mais ça commence à changer. le réchauffement climatique des pays jusque ici tempérés fait que les moustiques sont de plus en plus présents au sud de la france, espagne et portugal. quand ces connards tomberont comme les paludéens africains, l'énorme richesse dont ils disposent sera utilisé pour combattre cette maladie."
Tel est l'ordre des choses.
J'ai une fois lu dans un journal de la place je ne me souviens plus lequel que des chercheurs auraient trouvé l'antidote suscepectible d'éradiquer ce fléau qui gangrénent l'Afrique, mais que l'O.M.S aurait dit que le vaccin coûte vachement chers et que les pays Africains ne sont pas en mesure de payer ça.
Si cela s'avère vrai je dirai que la santé est devenu un commerce.
Sommes nous dans quel univers