par Diabi Doua Camara » Dim Déc 09, 2007 5:09 am
LA MORT D'UN CONFRÈRE...
Ça se passe au cimetière, au moment de l'inhumation d'un célèbre cardiologue. De nombreux confrères sont présents.
Pour la circonstance l'entrée du caveau a été ornée d'un énorme coeur de deux mètres de haut fait avec des fleurs, et le cercueil est placé devant.
Après le sermon et les adieux, le gigantesque coeur s'entrouvre, le cercueil est roulé à l'intérieur et le coeur se referme. Tout le monde est silencieux et très ému.
Soudain, l'une des personnes présentes se met à éclater de rire.
Son voisin le réprimande d'un air sévère : "Chuut!... Mais qu'est-ce qui vous prend de rire comme ça ?"
- "J'imagine mes propres obsèques", répond le rieur.
- "Et alors ?... Je ne vois pas ce qu'il y a de drôle!"
- "Si ! Je suis gynécologue!!"
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L'instituteur d'une classe de CP :
- Dis-moi, Benoît, qu'est-ce que tu as fait pendant la récréation?
- J'ai joué dans le bac à sable, Monsieur.
- Très bien, Benoît. Viens au tableau. Si tu arrives à écrire "sable" correctement, tu auras 20 en orthographe.
Le prof se tourne vers un autre élève :
- A ton tour, Bastien, qu'est-ce que tu as fait pendant la récréation?
- J'ai joué au bac à sable avec Benoît, Monsieur.
- He bien, Bastien, si tu arrives à écrire "bac" correctement au tableau, tu auras 20 comme Benoît...
- Et maintenant toi, Mouloud, qu'est-ce que tu as fait à la récréation?
- Euuuuh, moi, missieur, ji volu jouer au bac à sable, mais Binoît et Bastien zont pas volu, m'ont dit di mi casser!
- Mais, quelle horreur ! C'est la manifestation d'une discrimination scandaleuse d'un groupe ethnique minoritaire dont l'intégration sociale pourrait être remise en cause, et en plus, dans ma classe!
Ecoute, Mouloud, si tu écris correctement au tableau "discrimination scandaleuse d'un groupe ethnique minoritaire dont l'intégration sociale pourrait être remise en cause", tu auras aussi un 20
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Un prêtre dit à son ami rabbin :
- J'ai un truc pour manger gratuit.
- Super ! Donne-moi ton secret !
- Je vais au restaurant, assez tard, et je commande une entrée, un plat, du fromage, un dessert et puis je prends mon temps en dégustant un café, un cognac et un cigare... Et j'attends la fermeture.
Comme je ne bouge pas, et quand toutes les autres chaises sont rangées sur les tables, le garçon vient me voir pour encaisser.
Alors je lui réponds : " Mais j'ai déjà payé à votre collègue qui est parti ! " Et le tour est joué...
Et le rabbin :
- Alors, on essaie demain ?
- OK.
Le lendemain, les deux compères vont au restaurant et tout se passe comme prévu.
Au moment de la fermeture, le garçon demande s'il peut encaisser :
Le prêtre lui répond :
- Désolé, mais on a déjà payé à votre collègue qui est parti.
Et le rabbin ajoute : - Et d'ailleurs nous attendons toujours notre monnaie...
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Une gentille mémé va voir son docteur:
-Docteur, j'ai un petit problème avec mes gaz.... bon c'est pas trop grave, ils ne sentent jamais mauvais et sont toujours silencieux; pour vous dire ça doit faire 10 fois que j'ai pété dans votre bureau et je suis certaines que vous ne vous en êtes jamais aperçu car ils sont sans odeur et silencieux...
Le docteur:
-Je vois, je vois... Prenez ces pilules et revenez me voir lundi prochain...
Lundi arrive, la p'tite mémé revient:
-Docteur, je ne suis pas très contente des pilules que j'ai prises, mes gaz restent silencieux, mais ils puent, une véritable infection...
-Très bien, dit le Docteur, maintenant qu'on a réussi à dégager vos sinus, on va s'occuper de vos oreilles !
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Un riche industriel s'adresse à un ami ministre (les riches industriels ont tous au moins un ami ministre) en ces termes:
- Mon fils me désespère. Il n'a pas terminé ses études, ne cherche même pas de travail, passe tout son temps à boire et à rigoler avec ses copains. Ne pourrais-tu pas lui trouver un petit boulot dans ton ministère ?
- Aucun problème, répond le ministre. Je le nommerai adjoint de mon chef de cabinet, avec un traitement de 6.500 euros par mois.
- Non, non. Ce n'est pas cela que je veux. Il faut qu'il comprenne qu'il faut travailler dans la vie et lui inculquer la valeur de l'argent.
- Ah ? Bon. Je le ferai fonctionnaire en chef, à 4.500 euros par mois.
- Non, c'est encore trop. Il doit se rendre compte qu'il faut mériter son salaire.
- Euh... chef de service alors ? 3.500 euros par mois ?
- Toujours trop. Ce qu'il lui faudrait, c'est une place de petit fonctionnaire, tout en bas de la hiérarchie.
- Alors là hélas, je ne peux rien faire pour toi, répond l'ami Ministre.
- Mais pourquoi pas ?
- Pour ce genre de poste, il faut réussir un concours et avoir un diplôme.
Diaby doua Camara, la communauté Soninké reconnaissante