Modérateurs: Moderatrices du Forum des Filles Soninkara, Moderateurs Soninkara
Super Diamono a écrit:“ Rappelons que les Soninké qui sont les fondateurs de l'empire du Ghana sont aussi des Sao. Dika Akwa affirme : “ On se rend compte que le Bulu du Sud-Cameoun ou du Gabon parle certes comme les Beti ou les Fang, mais une histoire plus riche que celle plus connue de son XVIIIe siècle le renvoie à un même stock racial que les Bassow (Bakoko, Badjob, Yalongo) et les Yadouma (Mangissa, Yebekolo...) du Cameroun, les Akoko du Nigeria, les Yakouma du Zaïre, les Laobés du Sénégal, tous descendants des Sao ou Sow légendaires bâtisseurs de l'empire du Ngéssimba (IIe siècle avant notre ère.), ou encore des Soninké fondateurs du célèbre empire du Ghana (Wagadou) ” (1).
“ Plusieurs rapports profonds existent, entre d'une part le clergé d'Amon appelé Saou dans l'Egypte pharaonique et d'autre part les peuple Soninké, Beti, Bisso/Bakoko. Le culte So du peuple Beti n'est rien d'autre que le rituel sur le Bélier d'Amon des Saou. Les Sao “ légendaires ”du Tchad, Cameroun et Nigeria existent bien par le rameau Bisso/Bakoko (Elog-Mpoo). Le nom totémique Nsoo/Nsow utilisé par tout ce rameau et le nom Sao sont linguistiquement identiques au Saou de l'Egypte pharaonique et à Esaie de la Bible. De nombreuses évidences accompagnent cette affirmation : le rituel de la panthère, chez les Saou de l'Egypte Pharaonique et les Nsoo/Nsow (Bisso/Bakoko) éclaire les origines de cet animal au sein des chefferies bamiléké. Ici la panthère joue un rôle central. De même la prédominance culturelle du phallus ou la circoncision chez les Bisso/Bakoko, Yakouma, Soninké, Beti et Bamiléké remonterait à l'aube de la naissance de l'Ancienne Egypte, il y a aujourd'hui plus de 5000 ans. ”(2)
Voilà pourquoi Marie Thérèse Assiga Atangana sera notre invitée d’honneur ? Parce qu’elle est aujourd’hui la seule femme qui a la responsabilité d’un des peuples camerounais : c’est la reine des Beti. “ Nos recherches inachevées et non publiées sur les origines des peuples Sao - des rameaux Bisso/Bakoko, Beti et Soninké (Sarakollé) ; des Basaa et Bamiléké dans l'Egypte pharaonique, sont une avancée significative pour l'histoire négro-africaine dans la mesure où selon ses sources : les sao et le rameau Bisso/Bakoko descendraient directement des anciens prêtres Saou qui ont joué un rôle éminent dans toute la civilisation de l'Ancienne Egypte. ”(2’)
http://www.lemessager.net/details_artic ... _art=25699
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1- ( Les problèmes de l'anthropologie et de l'histoire africaine, éd. Clé,p. 57).
2- (Esquisse d'un système de gouvernement négro-africain moderne face aux instabilités socio-économiques et au néo-colonialisme - Panafricanisme : les nouvelles perspectives. : SIM Mi NSONKON Rémy )
3- ( l’expression de la distinguée et fraternelle considération du SG du Ngondo, SAR Money Akwa II, à Dla le 21 octobre 2008)
4-- ( Les fondements économiques et culturels d’un Etat fédéral d’ Afrique Noire, Présence Africaine, Paris, 1974,p. 53.)
5- ( Le président de l’ Association du royaume Bamoun, ).
Daouda Diarra a écrit:Super Diamono a écrit:“ Rappelons que les Soninké qui sont les fondateurs de l'empire du Ghana sont aussi des Sao. Dika Akwa affirme : “ On se rend compte que le Bulu du Sud-Cameoun ou du Gabon parle certes comme les Beti ou les Fang, mais une histoire plus riche que celle plus connue de son XVIIIe siècle le renvoie à un même stock racial que les Bassow (Bakoko, Badjob, Yalongo) et les Yadouma (Mangissa, Yebekolo...) du Cameroun, les Akoko du Nigeria, les Yakouma du Zaïre, les Laobés du Sénégal, tous descendants des Sao ou Sow légendaires bâtisseurs de l'empire du Ngéssimba (IIe siècle avant notre ère.), ou encore des Soninké fondateurs du célèbre empire du Ghana (Wagadou) ” (1).
“ Plusieurs rapports profonds existent, entre d'une part le clergé d'Amon appelé Saou dans l'Egypte pharaonique et d'autre part les peuple Soninké, Beti, Bisso/Bakoko. Le culte So du peuple Beti n'est rien d'autre que le rituel sur le Bélier d'Amon des Saou. Les Sao “ légendaires ”du Tchad, Cameroun et Nigeria existent bien par le rameau Bisso/Bakoko (Elog-Mpoo). Le nom totémique Nsoo/Nsow utilisé par tout ce rameau et le nom Sao sont linguistiquement identiques au Saou de l'Egypte pharaonique et à Esaie de la Bible. De nombreuses évidences accompagnent cette affirmation : le rituel de la panthère, chez les Saou de l'Egypte Pharaonique et les Nsoo/Nsow (Bisso/Bakoko) éclaire les origines de cet animal au sein des chefferies bamiléké. Ici la panthère joue un rôle central. De même la prédominance culturelle du phallus ou la circoncision chez les Bisso/Bakoko, Yakouma, Soninké, Beti et Bamiléké remonterait à l'aube de la naissance de l'Ancienne Egypte, il y a aujourd'hui plus de 5000 ans. ”(2)
Voilà pourquoi Marie Thérèse Assiga Atangana sera notre invitée d’honneur ? Parce qu’elle est aujourd’hui la seule femme qui a la responsabilité d’un des peuples camerounais : c’est la reine des Beti. “ Nos recherches inachevées et non publiées sur les origines des peuples Sao - des rameaux Bisso/Bakoko, Beti et Soninké (Sarakollé) ; des Basaa et Bamiléké dans l'Egypte pharaonique, sont une avancée significative pour l'histoire négro-africaine dans la mesure où selon ses sources : les sao et le rameau Bisso/Bakoko descendraient directement des anciens prêtres Saou qui ont joué un rôle éminent dans toute la civilisation de l'Ancienne Egypte. ”(2’)
http://www.lemessager.net/details_artic ... _art=25699
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1- ( Les problèmes de l'anthropologie et de l'histoire africaine, éd. Clé,p. 57).
2- (Esquisse d'un système de gouvernement négro-africain moderne face aux instabilités socio-économiques et au néo-colonialisme - Panafricanisme : les nouvelles perspectives. : SIM Mi NSONKON Rémy )
3- ( l’expression de la distinguée et fraternelle considération du SG du Ngondo, SAR Money Akwa II, à Dla le 21 octobre 2008)
4-- ( Les fondements économiques et culturels d’un Etat fédéral d’ Afrique Noire, Présence Africaine, Paris, 1974,p. 53.)
5- ( Le président de l’ Association du royaume Bamoun, ).
ça veut dire que les soninké et certains peuples d'afrique centrale ont les mêmes origines ?
demba soumaré a écrit:LE SOONINKE PRENNE UN PEUT LEUR DESCENDENSI AVEC LES ARABE ,COMME LE NOM SOONI, ce un village qui est a cote d'EJIPT QUI S'APPELAIT SOONI, LE NOM SOONINKE VIENS DE LA BAS, peut etre je mes tropes
demba soumaré a écrit:NORMALEMENT CA DOIT EXISTER ENCORE
Moussa Sylla a écrit:demba soumaré a écrit:NORMALEMENT CA DOIT EXISTER ENCORE
alors qu attendent les historiens soninké pour aller enqueter la bas ?
on peut dire parfois que les griots mentent dans les récits
mais le plus souvent le fond de l'histoire est vrai.
moi j ai entendu que notre ancêtre commun DINGHA c'est lui qui est venu de l'est
mais avant de s'établir au wagadou, il a beaucoup pérégriné. il a été dans un pays
qui s'appelle bâgna, daarééga. j'ai entendu que c'est là bas qu'il a trouvé le puits
avec le djinn qui lui a donné une femme djinn en mariage avant que DINGHA ne tue
le djinn gardien des lieux.
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