REVELATIONS - Des biens cachés de chefs d'Etat Africains en

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Messagepar fofana » Dim Fév 17, 2008 1:53 am

ibou a écrit:
dioudoudiéri a écrit:A leur place vous auriez fait la même chose ou pire,c'est l'africain qui est ainsi,il préfère le paraître à l'être.


Donne moi le Mali et tu verras que je ne ferai pas même chose.

Je te laisse le Sénégal. C'est équitable comme partage non ?

:mrgreen:

c est cet afro pessimisme qui est le plus nul. c parce que toi tu es un incapable et un corrompu que tout le monde est incapable et corrompu. avec des raisonnements de cette sorte ne vous etonnez pas qu on reste toujour comme ça. y a de bons presidents en afrique: Alpha omar konaré a été un bon président, ATT aussi, Jerry Rawlings a fait des choses magnifiques au ghana, la mauritanie prend un bon cap.
seul vous senegalais gros parleur et maitres ès-corruption sont à la traine
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Messagepar Super Diamono » Dim Fév 17, 2008 11:58 pm

fofana a écrit:
ibou a écrit:
dioudoudiéri a écrit:A leur place vous auriez fait la même chose ou pire,c'est l'africain qui est ainsi,il préfère le paraître à l'être.


Donne moi le Mali et tu verras que je ne ferai pas même chose.

Je te laisse le Sénégal. C'est équitable comme partage non ?

:mrgreen:

c est cet afro pessimisme qui est le plus nul. c parce que toi tu es un incapable et un corrompu que tout le monde est incapable et corrompu. avec des raisonnements de cette sorte ne vous etonnez pas qu on reste toujour comme ça. y a de bons presidents en afrique: Alpha omar konaré a été un bon président, ATT aussi, Jerry Rawlings a fait des choses magnifiques au ghana, la mauritanie prend un bon cap.
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et pan lol :talla:
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Messagepar Bintou Wagué » Lun Fév 18, 2008 8:19 pm

La france sait qui a des comptes en France

La France sait qui a quel bien immobilier en France.

La Franc profite de cette manne financière qu'elle investit dans son économie.

Exemple, Abdou Diouf et Senghor ont volé tellement le Sénégal. Wade avait demandé des audits sur les comptes de l'état sénégalais.

Depuis plus rien.

Car ils se proptègent les uns et les autres.
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Messagepar Feinda Samassa » Mer Mar 05, 2008 10:13 pm

Protestation du Gabon après un reportage sur le patrimoine de Omar Bongo


LIBREVILLE (AFP) - Le Gabon a protesté mercredi contre un reportage de la télévision française publique France 2 sur les biens immobiliers du président Omar Bongo Ondimba en France et "réfléchit à la suite à donner aux relations franco-gabonaises".


Le gouvernement gabonais a "convoqué" l'ambassadeur de France pour lui exprimer son "étonnement sur la diffusion" d'un reportage concernant "les biens immobiliers en France" du président Bongo, a indiqué le ministère gabonais des Affaires étrangères dans un communiqué.

"Dans ce contexte", le Gabon "se réserve désormais le droit de réagir contre cet acharnement médiatique (...) conformément aux principes de réciprocité et réfléchit actuellement à la suite à donner aux relations franco-gabonaises", a souligné le ministère dans ce communiqué reçu mercredi à l'AFP.

Le ministère a aussi "exprimé son étonnement sur la diffusion par l'audiovisuel d'Etat d'un dossier qui a fait l'objet d'un non-lieu de la justice française pour +infraction insuffisamment caractérisée+".

Il estime que cette diffusion, s'est faite "au mépris" des "intérêts mutuels, de l'excellence des relations qui lient" la France et le Gabon, alors que "le Gabon est toujours demeuré un allié sûr pour la France".

Le ministère relève également que "la vive et hostile campagne de presse" sur les biens de M. Bongo s'est "intensifiée à l'ensemble des medias publics français".

France 2 a diffusé lundi soir un reportage sur l'important patrimoine immobilier que détient le président Bongo en France. Selon des procès-verbaux publiés en janvier par le quotidien français Le Monde, M. Bongo disposerait de trente-trois appartements ou maisons dont un hôtel particulier de 18 millions d'euros à Paris, acheté en juin 2007 par une société civile immobilière associant deux enfants du président gabonais.

La protestation intervient dans un contexte qui s'est tendu ces derniers jours après la reconduite aux frontières par la France de deux étudiants gabonais et une protestation "indignée" du Gabon qui a menacé "d'appliquer la réciprocité" à l'égard des Français en situation irrégulière au Gabon.

Le ministre de l'Intérieur a même précisé à l'AFP que cela pouvait concerner "beaucoup de Français" présent au Gabon, estimant que "5 à 10%" des quelque 10.000 Français qui y sont installés n'étaient pas en règle.

Le Gabon et la France ont entretenu jusqu'à présent des relations privilégiées et M. Bongo, au pouvoir depuis 40 ans, est des piliers de la Françafrique.

Désormais doyen des chefs d'Etat du monde, M. Bongo, qui a connu tous les présidents de la Ve République française, est l'un des derniers symboles des relations particulières qui ont longtemps uni Paris et ses ex-colonies.

Il a été un des principaux relais du système "françafricain" où s'entremêlaient raison d'Etat, lobbies et réseaux politico-affairistes, permettant à la France de maintenir son influence sur le continent.

La France possède une base militaire à Libreville et M. Sarkozy était venu au Gabon en juillet, lors de son premier voyage en Afrique subsaharienne en tant que président français.

La base militaire de Libreville avait accueilli récemment tous les étrangers évacués de N'Djamena par la France après l'attaque rebelle de début février sur la capitale tchadienne.
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Messagepar doudou » Mer Mar 05, 2008 10:29 pm

Le patrimoine français des dictateurs africains Sassou et Bongo, dévoilé à la télévision Corruption, détournement et Françafrique : les biens mal acquis au Journal Télévisé de France 2

[youtube]http://fr.youtube.com/watch?v=sZsVjE04ZGs[/youtube]
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Messagepar Nouha Cissé » Ven Mar 07, 2008 11:53 pm

Expulsion de Français: le Gabon tend un miroir à la France
Par Pierre Haski (Rue89)


Omar Bongo a beau être l'un des personnages les plus caricaturaux de la Françafrique, il vient d'offrir à la France un miroir déformant dans lequel il ne fait pas bon de se voir. Furieux des conditions d'expulsion de France de deux étudiants gabonais en situation administrative irrégulière, il a décrété que tout Français dans la même situation au Gabon serait mis dans le premier avion s'il était découvert au cours d'un contrôle d'identité...

Monsieur tout-le-monde en sera peut-être choqué: on ne peut pas faire ça à un Blanc quand même... Et pourtant, le Français "clandestin", ça existe. Les autorités gabonaises estiment que sur 10 000 Français résidant sur leur territoire, entre 5 et 10% sont en situation administrative irrégulière, soit entre 500 et 1 000 personnes. Dans un petit pays comme le Gabon (1,2 million d'habitants), c'est beaucoup: entre 30 000 et 60 000 personnes ramenées à l'échelle française.

Les contrôles ont démarré dès l'aéroport. Mardi, selon Le Monde, un cadre pétrolier français a été refoulé à son arrivée à Libreville et remis dans l'avion de Paris... Et il est probable qu'il y en aura d'autres, pour l'exemple.

Faire prendre conscience aux Français de l'inhumanité de leurs pratiques

Les Français clandestins doivent donc raser les murs à Libreville, ne doivent plus oser sortir dans les lieux publics de peur d'être contrôlés, ne doivent plus pouvoir aller travailler de peur d'être dénoncés... Comme des Africains clandestins en France!

C'est là que Bongo a été génial. Comment mieux faire comprendre aux Français le caractère arbitraire, illégal et franchement inhumain de certaines de leurs pratiques si ce n'est en les leur appliquant?

Que dirait-on si un père français d'un enfant de 4 ans était expulsé brutalement du Gabon et renvoyé en France sans son enfant? C'est ce qui est arrivé à l'un des deux Gabonais expulsés de Reims, et qui provoque cette crise...

Il y a quelques années, un cinéaste africain avait eu la brillante idée d'inverser ainsi les rôles. Dans "Africa Paradis" de Sylvestre Amoussou, situé en 2033, l'Europe est en crise économique, et l'Afrique en pleine prospérité. Et les Européens tentent par tout les moyens d'émigrer dans ce "paradis" du plein emploi et de l'Etat providence.

"J'ai inversé la situation, en disant que les Blancs sont fainéants"

Le cinéaste béninois suit ainsi le parcours de deux Français candidats à cette traversée clandestine... Et dans son film, figure même un ministre de l'Intérieur qui rappellera quelqu'un aux Français.

Sylvestre Amoussou expliquait lors d'un passage à Montréal:

"J'ai inversé la situation, en disant que les Blancs sont fainéants. C'est ce que l'on entend tout le temps sur les Noirs. J'ai eu envie de mettre les Européens dans cette situation."

Bongo est certes mal placé pour faire la leçon à la France, lui qui a été placé au pouvoir par Paris il y a plus de ... quarante ans, et qui y a été maintenu depuis. Mais il a eu cette fois une saine colère dans laquelle de nombreux Africains se reconnaîtront.

En espérant qu'elle fasse réfléchir l'ancienne puissance coloniale dont le Président réaffirmait jeudi dans Le Figaro l'"obligation de résultats quant aux reconduites à la frontière". Une nouvelle incitation à piétiner les règles les plus élémentaires de notre propre droit, et de l'humanité.
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Messagepar Salimata » Dim Mar 09, 2008 2:02 am

en Afrique avec un sujet sensible et encore tabou : la corruption et les détournements. De plus en plus d´associations africaines s´alarment des milliards détournés depuis des années par certains chefs d´Etats. En France, suite à une plainte, la police et la justice ont enquêté pour la première fois ces derniers mois sur les acquisitions luxueuses de plusieurs dirigeants, en particulier en région parisienne. La plainte a finalement été classée sans suites (infraction insuffisamment caractérisée, selon le parquet de Paris) mais les listes que nous avons pu consulter sont édifiantes...

http://jt.france2.fr/20h/
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Messagepar Association Tuabou jikké » Dim Mar 09, 2008 11:02 am

Bongo, Sassou Nguesso, Compaoré, Obiang Nguema, Dos Santos : la fin de l’impunité ?

http://www.afrik.com/article11981.html

La justice française a ouvert une enquête contre eux pour "recel de détournement de biens publics"

Pour la première fois, des chefs d’Etats africains pourraient répondre de détournement de biens publics devant la justice alors qu’ils sont encore en exercice. Le parquet de Paris enquête sur les présidents congolais Sassou Nguesso, gabonais Omar Bongo Ondimba, burkinabé Blaise Compaoré, équato-guinéen Teodoro Obiang Nguema et angolais Eduardo Dos Santos.


Denis Sassou Nguesso et Omar Bongo Ondimba, les deux chefs d’Etats emblématiques de la « françafrique », inquiétés par la justice, en France ? Le parquet de Paris a annoncé en début de semaine l’ouverture d’une enquête préliminaire à l’encontre des présidents congolais et gabonais, suite à la plainte déposée contre eux, le 27 mars dernier, par l’association de juristes Sherpa, la Fédération des congolais de France (FCF) et l’association Survie, pour « recel de détournement de biens publics ». Les présidents burkinabé Blaise Compaoré, équato-guinéen Teodoro Obiang Nguema et angolais Eduardo Dos Santos sont également concernés, même si les plaignants disposent actuellement de « moins d’éléments les concernant », explique Yann Queinnec, juriste du réseau Sherpa spécialisé en droit des affaires.

« Pourquoi attendre qu’ils soient déchus ? »


Pour lancer leur attaque, les trois associations se sont appuyées sur une jurisprudence de la Cour de cassation qui présume l’existence d’une infraction « lorsqu’une personne ne peut pas justifier des ressources correspondant à son train de vie ». Or, le rapport du Comité catholique contre la faim et pour le développement (CCFD), « Biens mal acquis… profitent trop souvent », publié en mars dernier et sur lequel elles se basent, liste « un patrimoine considérable qu’aucun des revenus connus [de ces présidents] n’est susceptible de justifier », affirment-elles.

Si la partie est loin d’être gagnée, Sherpa, Survie et la FCF ont déjà fait savoir mardi qu’« une culture d’impunité tranquille est pour la première fois ébréchée ». La décision du parquet de Paris est importante dans la mesure où depuis toujours, au Mali (Moussa Traoré), au Nigeria (Sani Abacha), au Liberia (Charles Taylor), au Kenya (Arap Moi) et sur tous les continents, les actions entreprises contre des chefs d’Etats soupçonnés de détournement de fonds l’ont toujours été après leur chute. Le plus souvent, les procédures et demandes de restitution ont été enclenchées par leurs propres remplaçants, indique le rapport du CCFD. Or, « pourquoi faudrait-il attendre qu’ils soient déchus ? C’est précisément pour garantir leur impunité qu’ils se cramponnent au pouvoir », arguent les plaignants.

Après le bâtiment, les ressources naturelles ?


Faut-il voir un lien entre la réponse apportée à ce dossier et la promesse faite par Nicolas Sarkozy, durant sa campagne présidentielle, de rompre avec les pratiques du passé ? Le quotidien algérien El Watan, qui fait le rapprochement entre ce nouveau dossier et les récents développements dans l’affaire Borrel, titre mercredi sur « la fin d’une ère » : « celle de Chirac et plus loin encore de cette vision gaulliste qui avait contribué à l’édification de la France-Afrique ».

« Logiquement, non, explique pour sa part Yann Queinnec. Il ne peut pas y avoir de lien entre un changement à la tête de l’exécutif et la magistrature suprême. Mais cela peut dénoter d’une ère du " ne plus laisser faire". Peut-être les magistrats saisis se sentent-ils les coudés plus franches ? » Les trois associations plaignantes ont en tout cas indiqué mardi que cette « première en France (…) devra être déclinée, prochainement, dans d’autres pays ». Et qu’elles mêmes « demanderont l’élargissement de l’enquête en cours à d’autres dirigeants et leurs clans »

Cependant, leurs investigations ne porteront pas sur les gros dossiers, ceux du pétrole, des richesses naturelles pillées et des sociétés écrans. « Il n’est pas exclu que cela survienne à l’avenir. Mais nous sommes actuellement sur les wagons de queue, ceux qui concernent l’utilisation de l’argent qui s’est évaporé, explique Yann Queinnec. Le pétrole, c’est une autre histoire, c’est plus visqueux, plus complexe. Là, nous sommes sur des biens immobiliers, du dur et des faits plus faciles à prouver. »
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Messagepar Salimata » Ven Mar 14, 2008 2:20 am

[align=center]Rien ne va plus entre Paris et Libreville[/align]

http://www.nettali.net/spip.php?article6189
mercredi 12 mars 2008

RFI 8 Hier, l’Assemblée nationale et Sénat gabonais se sont réunis en Congrès exceptionnel pour dénoncer la campagne de dénigrement en cours en France contre le président Bongo. Le Parlement est en colère, entre autres, à cause de l’expulsion de deux étudiants gabonais par Paris, et surtout pour des articles et des reportages sur les biens et les maisons que possède le président gabonais en France. Ce coup de froid survient sept mois après la visite à Libreville du président français Nicolas Sarkozy.

Les institutions gabonaises volent les unes après les autres au secours du président Bongo, victime, selon Libreville, d’un complot ourdi par les médias français, mais aussi par les autorités de Paris. Après le ministère des Affaires étrangères et le gouvernement, le Parlement a adopté une résolution dénonçant « la campagne de dénigrement contre le président gabonais ».

Selon l’Assemblée et le Sénat réunis en Congrès exceptionnel, les médias français qui relaient l’enquête sur le luxueux patrimoine immobilier du président Bongo en France, diffusent des informations tendancieuses et diffamatoires pour ternir l’image du chef de l’Etat.

Le Parlement invite les Gabonais à déjouer toute manœuvre de déstabilisation des institutions. De son côté, le Conseil national de la communication (CNC) a suspendu pour trois mois le bimensuel privé Tendance Gabon, qui a publié in extenso un article du quotidien Le Monde, portant justement sur cette enquête classée « sans suite ». Ce papier s’appuie sur les procès-verbaux de police recensant les biens immobiliers de plusieurs chefs d’Etat africains en France.

Selon le CNC, en reproduisant cet article, le journal gabonais participe à la campagne française de dénigrement contre le président Bongo.
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Messagepar Modou Mbacke » Ven Mar 14, 2008 7:33 pm

je pense que certains d'entre eux se agripperont au pouvoir jusqu'à leur décè puisse que l'umminité est en cours du moment où ils sont toujours rois, pour ne dire président. c est pourquoi abdoulaye wade s'aggrippe au pouvoir et veux mettre son fils à sa place pour éviter la prison quand il sera hors du pouvoir. abdou diouf a fait le même accord avec wade en 2000: je te laisse le pouvoir, personne ne m'emmerde pour détournement. wade a chanter partout les audits des finances publiques, elles n ont jamais été faites. tous les anciens coleurs ont été réintégrés.
aujourdhui wade a pillé en 8 ans plus de fric que senghor et diouf réunis.
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