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Pierre Vial a écrit:Sa décision d’appeler à voter pour Ségolène Royal ayant été source de critiques, Pierre Vial a émis le communiqué suivant :
Certains préconisent l’abstention au second tour. C’est évidemment une solution plaisante, qui permet d’éviter de choisir entre la peste Royal et le choléra Sarkozy. Mais c’est aussi, du coup, choisir l’impuissance, qu’illustra en son temps un certain Ponce
Pilate.
Un choix politique peut relever de l’engouement. Il peut relever aussi de la logique. Seule celle-ci intervient, évidemment, dans mon choix pour le vote Royal. Car ceux qui me reprochent de méconnaître les aspects les plus détestables de Ségolène Royal
(célébration du métissage, etc…) font erreur. Je sais, bien sûr, tout cela. Simplement, mon analyse repose sur une comparaison : comparaison entre la dangerosité de Royal et celle de Sarkozy compte tenu de leurs profils respectifs. Il me paraît évident que la dangerosité de Sarkozy est supérieure à celle de Royal. C’est cela, et cela seulement, qui explique mon choix. Bien entendu – cela va sans dire mais va encore mieux en le disant – il n’engage que moi et je comprends fort bien ceux qui ne peuvent s’y résoudre, pour des raisons totalement honorables et que je respecte. Mais il m’arrive de relire de temps en temps Machiavel.
http://fr.altermedia.info/general/pierr ... 10737.html
dioudoudiéri a écrit:« C’est pas du cinéma, c’est la guerre »
Ces fortes paroles ont été prononcées, selon le quotidien Le Monde (28 novembre 07) par un des meneurs des émeutiers qui ont mis à feu et à sang, pendant trois jours, plusieurs villes de la région parisienne, détruisant, le plus souvent par le feu, commerces, voitures,
écoles, bibliothèque, postes de police. La guerre… Cette guerre ethnique que nous avons annoncée comme inéluctable depuis des années. « La guerre, c’est ça mon pote. C’est faire tourner en rond l’ennemi ». Le stratège encagoulé qui s’exprime ainsi sait qu’il n’a pas besoin de désigner plus précisément « l’ennemi » puisque chacun sait que c’est le flic
blanc – et, à travers lui, tous les Blancs. Le Monde, sans jamais écrire le mot, sait bien que la confrontation est ethnique : il indique que les émeutiers sont encouragés par des témoins au cri de « Allez les frères ! ». Et qu’un pressing est épargné parce que quelqu’un a crié : « Celui-là, il est à la famille ».
Deux individus se fracassent contre une voiture de police parce qu’ils roulaient comme des dingues, sur une minimoto non homologuée, sans casque et à pleins gaz.
Les « jeunes » se rameutent, massacrent à coups de barre de fer un commissaire de police assez naïf pour chercher à discuter avec eux et tout démarre, c’est à dire une nouvelle répétition, style grandes manoeuvres, pour la future généralisation de la guerre ethnique.
Quelques remarques :
- Sarkozy fait des déclarations fracassantes mais, en recevant à l’Elysée les familles des deux jeunes avoue, compte tenu des mentalités africaines, un acte de faiblesse, de soumission à l’égard de l’africanisation de la France.
- Les deux morts, paraît-il bien « français », seront enterrés dans leurs pays d’origine, le Maroc et le Sénégal. La mort est minute de vérité : la véritable identité, la véritable appartenance sont affirmées sans hésitation.
Avis aux benêts qui parlent d’intégration… étant bien entendu que la bêtise n’excuse rien quand elle devient pure et simple trahison.
- Il est insupportable de continuer à utiliser le mot « jeunes » pour désigner ceux que Sarkozy a lui-même appelé des « racailles ». Il faut donc reprendre le terme (en rappelant à chaque fois qui en est l’auteur : il faut rendre à César….n’est-ce pas ?)
dioudoudiéri a écrit:Les jeunes qui se prennent pour des français pourquoi ne sont-ils pas enterrés en France?====>La mort est minute de vérité
dioudoudiéri a écrit:Les jeunes qui se prennent pour des français pourquoi ne sont-ils pas enterrés en France?====>La mort est minute de vérité
dioudoudiéri a écrit:« C’est pas du cinéma, c’est la guerre »
Ces fortes paroles ont été prononcées, selon le quotidien Le Monde (28 novembre 07) par un des meneurs des émeutiers qui ont mis à feu et à sang, pendant trois jours, plusieurs villes de la région parisienne, détruisant, le plus souvent par le feu, commerces, voitures,
écoles, bibliothèque, postes de police. La guerre… Cette guerre ethnique que nous avons annoncée comme inéluctable depuis des années. « La guerre, c’est ça mon pote. C’est faire tourner en rond l’ennemi ». Le stratège encagoulé qui s’exprime ainsi sait qu’il n’a pas besoin de désigner plus précisément « l’ennemi » puisque chacun sait que c’est le flic
blanc – et, à travers lui, tous les Blancs. Le Monde, sans jamais écrire le mot, sait bien que la confrontation est ethnique : il indique que les émeutiers sont encouragés par des témoins au cri de « Allez les frères ! ». Et qu’un pressing est épargné parce que quelqu’un a crié : « Celui-là, il est à la famille ».
Deux individus se fracassent contre une voiture de police parce qu’ils roulaient comme des dingues, sur une minimoto non homologuée, sans casque et à pleins gaz.
Les « jeunes » se rameutent, massacrent à coups de barre de fer un commissaire de police assez naïf pour chercher à discuter avec eux et tout démarre, c’est à dire une nouvelle répétition, style grandes manoeuvres, pour la future généralisation de la guerre ethnique.
Quelques remarques :
- Sarkozy fait des déclarations fracassantes mais, en recevant à l’Elysée les familles des deux jeunes avoue, compte tenu des mentalités africaines, un acte de faiblesse, de soumission à l’égard de l’africanisation de la France.
- Les deux morts, paraît-il bien « français », seront enterrés dans leurs pays d’origine, le Maroc et le Sénégal. La mort est minute de vérité : la véritable identité, la véritable appartenance sont affirmées sans hésitation.
Avis aux benêts qui parlent d’intégration… étant bien entendu que la bêtise n’excuse rien quand elle devient pure et simple trahison.
- Il est insupportable de continuer à utiliser le mot « jeunes » pour désigner ceux que Sarkozy a lui-même appelé des « racailles ». Il faut donc reprendre le terme (en rappelant à chaque fois qui en est l’auteur : il faut rendre à César….n’est-ce pas ?)
ibou a écrit:dioudoudiéri a écrit:Les jeunes qui se prennent pour des français pourquoi ne sont-ils pas enterrés en France?====>La mort est minute de vérité
Rares sont les personnes qui ont exprimé clairement leur volonté quand à leur inhumation.
Donc dans le cas où c'est un jeune qui meurt, c'est la famille qui gère les obsèques et qui décide du lieu d'inhumation.
Si la famille décide d'enterrer leurs enfants au bled, c'est surement pour les enterrer avec le reste de la famille, tout simplement.
Ils sont la première génération d'immigré donc ils ont encore un lien très fort avec leur pays d'origine. Il n'y a pas de revendication politique là-dedans.
Super Diamono a écrit:dioudoudiéri a écrit:Les jeunes qui se prennent pour des français pourquoi ne sont-ils pas enterrés en France?====>La mort est minute de vérité
les patrons et personnalités français qui se prennent pour des français, pourquoi ils planquent leurs sous ailleurs
pourquoi ils prennent les nationalités suisses ?
ahhhh porte des lunettes
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