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[Dado]

UNE HISTOIRE DE SORCELLERIE A TAMBACOUNDA VIRE AU DRAME : L’enfant « possédé » trépasse, la potion magique du guérisseur terrasse trois dames

Le quartier traditionnel du Pont à Tambacounda a été le théâtre d’une banale affaire d’accusation de sorcellerie qui a fini par défrayer la chronique à la suite de la mort, hier, d’un enfant du nom d’Abdoulaye Diallo dit Papis, vers 13 heures. Tout est parti d’un mal non précisé dont souffrait Papis. Sa famille fit recours à un guérisseur traditionnel pour le soigner. Le guérisseur « diagnostiqua » que l’enfant était possédé par de mauvais esprits et se donna aussi comme mission d’élucider ce cas de « sorcellerie ». Il se chargea de démasquer le « coupable » en recourant à la redoutable méthode de l’ordalie consistant, cette fois-ci, à faire prendre une potion magique à l’entourage du défunt. Le marabout fit des incantations et donna ensuite à boire de la potion à une quinzaine de personnes. A l’arrivée, trois femmes ne se réveillèrent plus. La thèse de la sorcellerie fut alors accréditée par le sort des dames clouées par la potion aux yeux de certains, d’autant plus que les autres membres de la famille qui en ont bu n’auraient manifesté aucune réaction inquiétante.


Les deux dames assommées par la recette du guérisseur sont membres de la famille de l’enfant, tandis que la troisième est une voisine qui a pris volontairement de la potion magique alors qu’elle était venue s’enquérir de l’état du petit.

Le pire est arrivé, hier, avec le décès de l’enfant qui était traité par le marabout depuis six jours. Tous les artifices ont été mis en œuvre pour soulager ces femmes sous l’effet de la recette du guérisseur. Informées de la situation, les autorités judiciaires et policières se sont rendues sur les lieux pour constater les faits. Le marabout a été acheminé à la police et les dames conduites à l’hôpital. Le corps de l’enfant a été transporté par les Sapeurs-pompiers à l’hôpital régional pour les besoins d’une autopsie. Une enquête est ouverte pour tirer au clair cette histoire de sorcellerie.

Source: le Soleil

[doudou]

En tout cas, s' c'est demain, ce n'est pas la veille. Nous sommes encore au moyen âge. Pourtant en tant que musulmans que nous sommes sensés être depuis des siècles, nous devrions laisser certaines pratiques. Mais non! Les africais nous adorons tout ce qui est spiritualité. On aime l'invisible et tous ces trucs là. Aucune religion n'arrivera à déconnecter les africains de leurs attachements à la sorcellerie et la superstitution.

[Mame Diaara]

En tout cas, s' c'est demain, ce n'est pas la veille. Nous sommes encore au moyen âge. Pourtant en tant que musulmans que nous sommes sensés être depuis des siècles, nous devrions laisser certaines pratiques. Mais non! Les africais nous adorons tout ce qui est spiritualité. On aime l'invisible et tous ces trucs là. Aucune religion n'arrivera à déconnecter les africains de leurs attachements à la sorcellerie et la superstitution.

C'est l'ignorance qui donne tout ça.

[Salimata]

En tout cas, s' c'est demain, ce n'est pas la veille. Nous sommes encore au moyen âge. Pourtant en tant que musulmans que nous sommes sensés être depuis des siècles, nous devrions laisser certaines pratiques. Mais non! Les africais nous adorons tout ce qui est spiritualité. On aime l'invisible et tous ces trucs là. Aucune religion n'arrivera à déconnecter les africains de leurs attachements à la sorcellerie et la superstitution.

C'est l'ignorance qui donne tout ça.

ils administrent des decoctions d'arbres contenant du poison qu'ils diluent dans des breuvages pour faire délirer. et ils appellet ça conversation avec un djinné. du n'importe quoi. mais au sénégal ce sont les femmes qui adorent aller voir les marabouts pour jeter des sorts

[niouma]

En tout cas, s' c'est demain, ce n'est pas la veille. Nous sommes encore au moyen âge. Pourtant en tant que musulmans que nous sommes sensés être depuis des siècles, nous devrions laisser certaines pratiques. Mais non! Les africais nous adorons tout ce qui est spiritualité. On aime l'invisible et tous ces trucs là. Aucune religion n'arrivera à déconnecter les africains de leurs attachements à la sorcellerie et la superstitution.

C'est l'ignorance qui donne tout ça.

ils administrent des decoctions d'arbres contenant du poison qu'ils diluent dans des breuvages pour faire délirer. et ils appellet ça conversation avec un djinné. du n'importe quoi. mais au sénégal ce sont les femmes qui adorent aller voir les marabouts pour jeter des sorts

tu t es trompée de sujet