Sénégal pays de tout les menaces

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Sénégal pays de tout les menaces

Messagepar coutora » Ven Aoû 22, 2008 12:36 am

SYSTEME WADE : Menaces, injures et violences : La génération du chaos



SYSTEME WADE : Menaces, injures et violences : La génération du chaos
Il fait partie des éminents intellectuels sénégalais qui refusent de se cantonner dans le statut de spectateurs et de cautionner tacitement le règne de la pensée unique, devenue maintenant d'un autoritarisme dévastateur. Mamadou Mbodji, qui enseigne la psychologie à l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar, comme beaucoup de Sénégalais, en a «assez des menaces, des injures et des violences morales, psychologiques et physiques du pouvoir dit libéral en guise de réponses aux difficultés qui assaillent les Sénégalais». Voyage au cœur de la réflexion d'un psychologue qui met sur un divan le régime dit libéral et une société sénégalaise qui n'est pas à l'abri de convulsions violentes. Jouer son rôle d'intellectuel, c'est alerter, mettre le doigt sur la plaie avant qu'elle ne s'infecte jusqu'à la gangrène. C'est assurément, cette posture qu'adopte dans un texte fulgurant de vérités, le psychologue à l'Université de Dakar, Mamadou Mbodji, outré par la propension du «pouvoir dit libéral» à faire dans «des menaces, des injures, des violences morales, psychologiques et physiques (…) en guise de réponse aux difficultés qui assaillent les Sénégalais». Et M. Mbodji de s'écrier en concluant son propos : «Il faut freiner la chienlit rapidement, avant qu'il ne soit trop tard, la chienlit actuelle qui menace les fondements de l'Etat et de la Nation !» S'il lance cette sommation, c'est que le psychologue doublé d'un observateur averti de la scène politique nationale, mesure la capacité de nuisance nationale des «ignorants», des «incultes», des «membres les plus insignifiants du «système Wade», dont il se demande «d'où ils sortent». Sortent-ils donc du «segment lumpen du personnel politique sénégalais», s'interroge Mamadou Mbodji. Le psychologue-clinicien tente aussi d'entrer dans l'intelligence des raisons d'une permissivité dangereuse, actuellement en cours au sommet de l'Etat. En effet, le Pr Mbodji cherche à savoir ce «qui leur permet de brandir impunément des menaces, des injures et surtout de s'amuser à mettre en péril l'équilibre très instable, le destin de ce pays». Il a du mal à cerner le comportement de ces «pavloviens de la violence» ou, comme il le dit précisément, «ces énergumènes vociférant à longueur de journée, dans un français détestable, des insanités indignes des «responsables» politiques de premier rang qu'ils prétendent être». Et pourtant, suggère M. Mbodji, à travers les marges de ses questionnements, peu de Sénégalais avaient auparavant «entendu parler de ces individus durant les luttes sociales conduites par des hommes courageux de ce pays depuis la période coloniale». Le psychologue doute, de ce «doute cartésien» dont Alain disait qu'il «est le sel de l'esprit», de la représentativité nationale de ces membres du «système Wade», dont il se demande encore ce qu'«ils savent des réalités et du quotidien des Sénégalais, au-delà des foules factices et des nervis qu'ils mobilisent à coup de milliers de francs». Toujours sur le registre des interrogations desquelles transpercent pourtant des réponses, Mamadou Mbodji se demande : «Dans quel pays pensent-ils être ? Quelles sont les raisons profondes de cette insolence, de cette violence verbale et comportementale au quotidien ?» M. Mbodji pourrait peut-être convoquer Paul Valéry qui, face à la furie destructive de la guerre mondiale, martèle : «Ils ne savent pas ce qu'ils font !» C'est ce que vaut son questionnement, qui a aussi valeur d'avertissement : «Savent-ils (les membres du système Wade) qu'en jouant ainsi avec le feu, alors qu'ils sont plus que jamais installés sur une poudrière, ils seront les premiers à être emportés par l'explosion sociale qu'ils s'amusent à vouloir provoquer ?» Puis citant nommément quelques-uns parmi eux, le Pr Mamadou Mbodji invite subtilement Babacar Gaye, Farba Senghor, Doudou Wade et consorts à entrevoir leur sort au-delà de l'horizon du présent, «quand Abdoulaye Wade et son régime ne seront plus aux commandes des destinées de ce pays». «Où (…) pensent-ils se réfugier ou trouver asile demain… ?» Qu'ils méditent donc cette prochaine tragédie d'un destin au cours duquel, «on ne leur laissera aucun répit», car «ils devront, assure M. Mbodji, répondre des actes qu'ils commettent. De leurs provocations au quotidien».

«POUR EUX, DEMAIN, C'EST AUJOURD'HUI»

En tout cas, le psychologue de l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar a une certitude : «la violence, les invectives, l'arrogance et l'injure» sont aux antipodes «des méthodes de gouvernance viables». Seulement, ces individus du régime dit libéral, «sans aucune vision prospective», ignorent cette vérité pourtant triviale, parce que, comme le souligne Mamadou Mbodji, «leur horizon, c'est le présent et l'illusion de puissance et l'ivresse que leur procure leur soudaine «richesse». Pour eux, demain, c'est aujourd'hui».
Le professeur de psychologie fait éclore dans son texte, le sentiment de «honte» qui l'habite, face à «ce qu'est devenue la fonction ministérielle», mais aussi face au «cinéma avilissant et humiliant que nous offrent, depuis huit ans, les responsables politiques libéraux et leurs souteneurs de premier rang, ces individus détestables que les journalistes sénégalais appellent les «transhumants». Pour Mamadou Mbodji, ceux qu'il convient, peut-être par abus de langage, d'appeler «responsables politiques» -et il prend comme exemple le «ministre Farba Senghor», n'ont nullement la préoccupation d'être des producteurs d'idéologie. «Forger la conscience d'un mouvement politique» à l'image des «collaborateurs de Senghor ou de Diouf» est étranger à leur ambition. La preuve brandie par Mamadou Mbodji : la réduction du «débat politique à l'invective, aux injures et aux menaces». Justification fournie par le psychologue, à ce niveau: «Cela n'est pas sans rapport avec leur impuissance idéologique.»

Evoquant et convoquant rapidement le passé, le Pr Mbodji écrit : «Senghor, Lamine Guèye et les dignes bâtisseurs de cet État qui ne sont plus de ce monde, doivent se retourner dans leurs tombes en voyant ce que Wade et son «système» ont fait de ce pays, de ses institutions et des hommes qui les servent.» Et ce qui donne l'effroi, c'est que ceux qui prétendent aujourd'hui nous gouverner «ne mesurent ni la gravité ni la portée» de leur système politique, évoluant «vers le totalitarisme et les méthodes et pratiques fascisantes» pouvant conduire «très rapidement vers le chaos».

Abordant la question d'ordre éthique relativement par rapport à cette situation, Mamadou Mbodji soutient que «Wade et son «système» ont détruit la fibre morale des Sénégalais, déjà fortement malmenée par la longue gestion des socialistes». Se faisant plus précis, il souligne que les gens du régime actuel «ont réussi à ancrer dans l'esprit de beaucoup de Sénégalais que tous les moyens sont bons, fussent-ils les plus crapuleux, les plus vils pour se rapprocher des sphères du pouvoir, voire les intégrer et jouir, par des pratiques les plus malhonnêtes, des privilèges que celui-ci offre». Avec, en prime, «l'impunité (…) quasiment assurée».

MAUVAIS PRESAGE

L'amateurisme et le manque de clairvoyance des gens du régime ont plongé le Sénégal dans «des difficultés endémiques». La responsabilité du pouvoir est passée par là. Or, pour le Pr Mamadou Mbodji, c'est comme si, pour eux, ces difficultés «justifiaient les ignominies et violences auxquelles se livrent les éléments les plus obscurs de ce régime». En lieu et place de «leurs cris et de leurs regards de haine, de leur insupportable arrogance, de leurs vociférations et de leurs menaces», le psychologue les invite à la vertu du silence, mais surtout du travail «pour sortir le pays de l'impasse dans laquelle leurs tâtonnements, leur inexpérience, leur immaturité, leur cupidité l'ont progressivement installé». Il pointe l'index accusateur sur leurs «modes d'exercice du pouvoir», sur leur manière de «faire de la politique». Des facteurs qui, selon le professeur à l'Université de Dakar, «ont fait surgir des entrailles et de l'intériorité des Sénégalais, ce «refoulé», ces «monstres intérieurs tapis en nous, ces lâchetés qu'il est généralement du devoir de toute société normale, d'en faciliter, à ses membres, le contrôle ou la sublimation, pour leur permettre de conserver une part d'humanité». Ce qui met d'autant plus le Sénégal et les Sénégalais en danger, c'est que «pendant que la demande sociale s'accroît, que les pénuries, privations, mécontentements, s'accumulent et s'intensifient, nous approchant lentement mais sûrement du point de rupture, les politiques au pouvoir, enfermés dans leurs déchirements, totalement sourds aux préoccupations des populations, continuent à défier et narguer ces dernières». «A la croisée des chemins», la société sénégalaise est engluée dans le bourbier d'«une crise économique, sociale, politique, institutionnelle, très sérieuse». Là, Mamadou Mbodji dévalise son «collègue et ami» qui lui confiait que : «L'alternance politique n'aura donc pas réalisé la reconstruction avant tout morale de la société qui était tant attendue, car Wade et ses collaborateurs n'ont pas traité fondamentalement les causes de la situation dans laquelle se trouvait ce pays à la fin des années 1990». Or, pour lui, ce qui est devenu une priorité, c'est «la question de la reconstruction morale de notre société» et ce qui est posé comme «urgente nécessité», c'est «l'émergence des forces sociales et politiques capables de l'organiser de manière pacifique et ordonnée». Le Pr Mbodji plaide pour «un réarmement moral de nos concitoyens et surtout de nos «guides» qui assistent aujourd'hui en spectateurs aux difficiles conditions de vie de leurs disciples». Sans ce réarmement moral, assorti d'«une analyse approfondie et sans complaisance du fonctionnement au quotidien des familles et des institutions», le psychologue Mamadou Mbodji est persuadé que «rien ne pourra sortir (le Sénégal) de la médiocrité, de la monotonie générale et de la profonde tristesse dans lesquelles ce pays s'est installé».

L'avenir immédiat du Sénégal ne présage rien de bon au regard de son installation progressive «dans une situation de blocage qui va le rendre ingouvernable», avise Mamadou Mbodji. Et d'alerter, d'avertir en ces mots terribles et terrifiants : «Si rien n'est fait rapidement pour renverser cette tendance, aucun garde-fou institutionnel, moral, religieux ou juridique, aucun bouclier policier ou militaire ne parviendra à endiguer le déferlement de violence collective qui s'ensuivra.» Puis, afin que nul n'en ignore, il ajoute : «Cette violence sera sans commune mesure avec toutes celles que le Sénégal a connues jusqu'à présent.»

Source: Le Quotidien

http://xibar.net/index.php?action=article&numero=12336
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Re: Sénégal pays de tout les menaces

Messagepar coutora » Ven Aoû 22, 2008 12:40 am

MENACES CONTRE YAXAM MBAYE ET LE JOURNAL LE POPULAIRE : Le Monstre recrute dans l'arène


Après la mise à sac des quotidiens L'AS et 24 Heures Chrono, un autre plan vient d'être mûri, selon le directeur de publication Yakham Mbaye du journal Le Populaire. Celui de s'attaquer à ce canard et au domicile de son Dirpub, Yakham Mbaye. Mais, très tôt alerté, M. Mbaye a saisi les autorités pour les mettre devant leurs responsabilités


MENACES CONTRE YAXAM MBAYE ET LE JOURNAL LE POPULAIRE : Le Monstre recrute dans l'arène
C'est l'escalade dans la tension presse-pouvoir. Yakham Mbaye, directeur de publication du journal Le Populaire a fait état hier sur les ondes de la radio privée Rfm, d'un plan d'agression contre son domicile et le siège de son organe. Le journaliste informe qu'il a été avisé par une de ses sources qui a pris part à une rencontre où se tramait le plan de sabotage. M. Mbaye de poursuivre : «C'est une réunion regroupant des nervis, pour être précis des lutteurs issus de deux écuries très connues de la place avec une quarantaine de participants. J'ai été informé par une de mes sources qui avait participé à cette rencontre.» Mais, M. Mbaye n'a pas voulu révéler les noms des écuries auxquelles appartiennent ces différents lutteurs. Car, pour lui, le fait que ces gens appartiennent à ces écuries ne veut pas forcément dire que celles-ci cautionnent ce qu'ils font. «Le nom des écuries est important, peut-être, pour localiser le lieu de la réunion. Mais, je connais plus ou moins les gens qui ont participé à cette réunion. Il y a certaines personnes qui sont très proches de moi et c'est elles qui m'ont alertées. Et, dans ces événements, citer le nom de ces écuries revient à jeter l'opprobre sur elles», précise-t-il. Donc, c'est la vie du directeur de publication du Populaire qui est en danger. Et, pour sa sécurité, soutient Yakham Mbaye, il a pris le soin d'alerter certaines autorités pour les mettre devant leurs responsabilités. «Parallèlement, j'ai renforcé la sécurité au niveau de ma maison et au niveau du journal. C'est ce que je suis en train de faire. Parce que depuis l'attaque de L'AS et, bien avant, il y avait une sécurité renforcée dans ces deux lieux. Nous avons les moyens d'assurer notre sécurité mais nous ne sommes pas là pour le faire, il y a des institutions qui sont là pour protéger tous les citoyens. S'ils attaquent ma maison ou bien le journal, on va descendre et cela pourrait provoquer des évènements fâcheux», estime M. Mbaye. La Police a déployé des éléments devant le domicile de Yaxam Mbaye et au siège du Populaire.

Source: Le Quotidien

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Re: Sénégal pays de tout les menaces

Messagepar coutora » Ven Aoû 22, 2008 12:49 am

[ AUDIO ] AIDA MBODJ MENACE MADIAMBAL DIAGNE DE MORT ''j'ai envie de tuer Madiambal Diagne''

http://xibar.net/index.php?action=article&numero=12340
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Re: Sénégal pays de tout les menaces

Messagepar coutora » Ven Aoû 22, 2008 12:52 am

MENACES DE MORT DE AIDA MBODJ: Madiambal Diagne : ' J'enverrais des expéditions punitives à mes agresseurs et leurs commanditaires...'


Le Président du Groupe Avenir Communication, Madiambal Diagne a déposé ce mercredi une plainte contre Aïda Mbodj pour menaces de mort, chez le Procureur de la République. Il y a joint les coupures des journaux "Le Populaire" et "24 heures Chrono" qui évoquent dans leurs éditions de ce mercredi, des menaces de mort de l'ancienne ministre et responsable libéral à Bambey, Aïda Mbodj.


MENACES DE MORT DE AIDA MBODJ: Madiambal Diagne : ' J'enverrais des expéditions punitives à mes agresseurs et leurs commanditaires...'
En effet, lors de la visite mardi du Khalife général des mourides à Bambey, fief de l'ancienne ministre de la Femme, et Vice-Présidente à l'Assemblée nationale, Aïda Mbodj a déclaré, selon le journal Le Populaire : "j'ai envie de tuer Madiambal Diagne". Elle a ajouté que "si la Police ne réagit pas, je réglerai mes comptes avec lui".

Aïda Mbodj a tenu ces propos en même temps qu'elle a introduit une plainte au niveau de la Justice pour diffamation, suite à un article publié par Weekend, un magazine du groupe Avenir Communication. C'est suite à ces menaces de mort que Madiambal Diagne, en sa qualité de Président du groupe de presse Avenir Communication, a décidé de saisir la justice.

Mais le Président du groupe Avenir Communication ne veut pas seulement se contenter de la procédure judiciaire ainsi engagée. Il déclare avoir pris des mesures conservatoires pour assurer sa propre sécurité. "Si l'Etat n'est pas en mesure de m'assurer une sécurité, j'ai les moyens de le faire moi-même. J'ai déjà pris des dispositions dans ce sens. J'ai déjà pris toutes mes précautions", assure-t-il. En menaçant dans la même lancée, "toute personne qui va toucher un seul cheveu de ma famille ou qui veut mettre en péril notre outil de travail".

Et d'ajouter : "je vais envoyer des expéditions punitives non seulement contre nos agresseurs mais aussi contre leurs commanditaires si je suis attaqué. Je connais où ils habitent et j'ai les moyens de me défendre", avance l'éditeur du journal "Le Quotidien" qui précise avoir les moyens d'entretenir des nervis.

Source Nettali

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Re: Sénégal pays de tout les menaces

Messagepar niouma » Sam Aoû 23, 2008 2:44 am

Pourquoi cette armée nationale au service du peuple ne réagit-elle pas pour libérer la population de cette hémorragie? Pourquoi nos paras et nos commandos ne renversent-ils pas ce régime de voyous et d'incompétents qui pillent le pays? Ou sont passés nos généraux et colonels pour mener cette facile libération en occupant en 30 min le palais, la RTS, l'Aéroport et en fermant l'unique sortie de dakar pour devenir des héros? N'est-ce pas une belle idée réalisable qui traverse votre esprit ? Imaginez-vous à la tête de l'Etat sénégalais à la place des ces incompétents pour redresser la situation. Comment pouvez-vous rester docile sous les ordres de cette bande d'ordures affamée, vendre votre âme pour de l'argent? Osez les Jambars, le Sénégal est en guerre contre des bandits au pouvoir.

http://www.seneweb.com/news/article/18097.php
si seulement ça se réalisait
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Re: Sénégal pays de tout les menaces

Messagepar Rama Yade » Sam Aoû 23, 2008 3:45 pm

Il faut suivre l'exemple de Madiambal. Il faut s'armer, avec des milices dans chaque quartier avec des cellules secretes de coordination au niveau national. On peut faire sauter ce regime tres facilement. Que chacun assure sa propre securite et mettre en place une liste des differentes personalite de l'Etat et de ses calots bleus. Ce n'est plus le temps aux paroles. Il faut passer aux actes c'est le seul langage que ces domou xaram comprennent avec leur PD en chef.

:dioudoudieri2: :bazouka: :modoumbacke: :farwest:
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« Pourquoi me ferais-je enterrer seule dans un cimetière des Hauts-de-Seine ? ». Ces propos sont signés de Rama Yade, secrétaire d’Etat chargée des affaires étrangères et des droits de l’homme en France. Rama Yade fait part de tout son écartellement entre deux cultures, deux pays, la France et le Sénégal.
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Re: Sénégal pays de tout les menaces

Messagepar coutora » Sam Aoû 23, 2008 5:19 pm

Rama Yade:a écrit
Il faut passer aux actes c'est le seul langage que ces domou xaram comprennent avec leur PD en chef.


Shalom Mme Zimmere
Tout fait d'accord avec toi par contre laisse les Sénégalais le faire toi tu as ton ministère à coté de amant Sarko le nain :mrgreen:
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Re: Sénégal pays de tout les menaces

Messagepar Rama Yade » Sam Aoû 23, 2008 5:38 pm

coutora a écrit:Rama Yade:a écrit
Il faut passer aux actes c'est le seul langage que ces domou xaram comprennent avec leur PD en chef.


Shalom Mme Zimmere
Tout fait d'accord avec toi par contre laisse les Sénégalais le faire toi tu as ton ministère à coté de amant Sarko le nain :mrgreen:

mais comme je me ferais entéré la bas, laisse moi me defouler un peu :mrgreen:
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« Pourquoi me ferais-je enterrer seule dans un cimetière des Hauts-de-Seine ? ». Ces propos sont signés de Rama Yade, secrétaire d’Etat chargée des affaires étrangères et des droits de l’homme en France. Rama Yade fait part de tout son écartellement entre deux cultures, deux pays, la France et le Sénégal.
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Re: Sénégal pays de tout les menaces

Messagepar coutora » Mer Oct 21, 2009 11:46 am

Insécurité, un nouveau danger au Sénégal : le chantage par la grossesse ou le viol
XIBAR.NET (Dakar, 21 Octobre 2009) Le chantage sur les hommes s’est enrichi d’une nouvelle trouvaille : le viol sur mineure. Une terrible arme fatale et imparable, que manipule tout un réseau.


Insécurité, un nouveau danger au Sénégal : le chantage par la grossesse ou le viol
Un journal de la place révélait que pour constamment soutirer de l’argent à un fils d’un célèbre et riche chanteur du pays, qui avait très peur de son père, sa copine le menaçait de révéler sa grossesse. Il lui offrira beaucoup d’argent pour qu’elle se fasse avorter. Il finira par découvrir que sa dulcinée était tout, sauf enceinte. Les hommes qui ont été l’objet d’un tel chantage font lésion. Mais, ceux qui ont découvert le pot aux roses n’en sont pas moins exposés, autant que ceux qui n’ont pas vécu de telles aventures. Car, les « maîtresses chanteuses » ont découvert une nouvelle formule, beaucoup plus lucrative et infaillible : l’accusation de viol sur mineure. Elle a valu à bien des personnes un séjour carcéral. Une célébrité dakaroise était accusée avec bien d’autres d’avoir déversé sa libido sur une « fille mineure ». Ils se retrouveront en prison malgré leurs dénégations. Bien après, ils retrouveront la liberté, humiliés et traînés dans la boue.

Dernièrement, l’affaire des jumelles avait défrayé la chronique. Elles avaient accusé un octogénaire, un mineur et un policier de les avoir violées. Ils seront placés sous mandat de dépôt. Dame justice finira par les acquitter au bénéfice du doute et probablement du fait de l’absence des avocats de la partie civile. Cette sordide et écoeurante affaire et tant d’autres jugées, quotidiennement, dans les tribunaux sont l’arbre qui cache la forêt. Car, cette nouvelle terrible pratique de chantage est devenue monnaie courante au Sénégal. Elle est, souvent l’œuvre de mères démunies ou de parents peu vertueux. Elle consiste à d’abord repérer un brave artisan ou petit employé ou même une vip du quartier, aux mœurs douteuses ou gentils avec les enfants. On commence par tisser de la sympathie entre la fillette et la cible. Puis s’abat l’accusation, en privé.

Ceux qui ne veulent pas de « scandale » mettent la main à la poche. À défaut, intervient un troisième larron. Il commence par jouer le rôle du parent de la mère des enfants, très en colère. Si son entrée en scène n’amène pas l’accusé à céder, il se déplace, avec la mère et la prétendue victime au commissariat de police, où il a déjà déblayé le terrain. Il s’y est créé une relation véreuse et l’a travaillée, par un discours pathétique et un « ndieugou gouro », entendons pot-de-vin. C’est par lui que passe l’arrangement à « l’amiable » ou, à défaut, la plainte. Ensuite, bonjour les difficultés, qui généralement débouchent devant le bureau du procureur, avant de conduire le malheureux à Rebeuss, à titre de garde-à-vue ou de condamnation. La pratique est devenue monnaie courante, à Dakar comme dans le reste du pays. Personne n’est à l’abri. L’insécurité n’est plus le seul fait des
agresseurs et voleurs à la tire. Le danger est bien là : les maîtres chanteurs sont dans nos murs ! Attention au fruit interdit ! Car, soixante-dix pour cent de la population carcérale séjournent à la citadelle du silence pour des affaires de mœurs.

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Re: Sénégal pays de tout les menaces

Messagepar dioudoudiéri » Jeu Oct 22, 2009 5:49 pm

Y'en a qui sont pas bien dans leur tête ici, vous croyez qu'un putsch au sénégal est mieux que le régime de wade? pfffffffffffff :evil:
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Mon site====> http://www.entre-collegues.com
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