L'Amerique est-elle prête pour avoir un président noir comme

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L'Amerique est elle prete pour Barack Obama ?

OUI, l'Amerique est prete pour Barack Obama
15
88%
NON, l'Amerique n'est pas prête pour Barack Obama
2
12%
 
Nombre total de votes : 17

Messagepar Modou Mbacke » Ven Mar 14, 2008 7:44 pm

Pourquoi le Ku Klux Klan supporterait Barack Obama ?

D'aprés ce quotidien, une branche du groupuscule raciste du Kentuchy supporterait Barack Obama pour les primaires.

Info ou intox ???

http://www.dailysquib.co.uk/?c=117&a=1227

KENTUCKY - USA - Imperial Wizard, Ronald Edwards has stated that, "anything is better than Hillary Clinton."


White Christian Supremacist group the Ku Klux Klan has endorsed Barack Obama to be the next President of the United States of America.

Speaking from his Kentucky office in Dawson Springs, the Imperial Wizard exclaimed that anything or anyone is better than having that "crazy ass bitch" as President.

This is the first time in Klan history that any member of the KKK has ever publicly supported an African American candidate for the presidency.

KKK lodges all over America have been gathering and holding rallies supporting the black presidential candidate.


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Messagepar Mame Diaara » Mar Mar 18, 2008 3:17 am

[align=center]Présidentielle américaine: pas de nouvelle primaire démocrate en Floride[/align]

WASHINGTON (AFP) - Les démocrates de Floride n'organiseront pas de nouvelle élection primaire pour départager les deux candidats à l'investiture pour la présidentielle américaine, selon un mémo adressé lundi aux instances nationales du parti.
(publicité)

Un scrutin s'est déjà tenu le 29 janvier dans cet Etat du sud-est, mais en raison d'un différend sur la date des élections, la direction du parti démocrate avait décidé de ne pas prendre en compte le vote, privant la Floride de ses 210 délégués pour la Convention démocrate. Aucun des candidats n'avait fait campagne, mais 1,8 million d'électeurs s'étaient déplacés et l'ex-Première Dame Hillary Clinton avait remporté l'élection.

"La semaine dernière, le parti démocrate de Floride a estimé que la seule façon de se conformer aux règles du parti démocrate était d'organiser une nouvelle consultation en Floride et a demandé l'avis des démocrates", explique le mémo signé par Karen Thurman, la présidente du parti démocrate de Floride.

"Des milliers de personnes ont répondu. Nous avons passé le week-end à examiner vos messages et bien que les raisons varient énormément, le consensus est clair: la Floride ne veut pas voter de nouveau", ajoute-t-elle.

"Aussi, nous ne voterons pas de nouveau", souligne-t-elle.

"Nous devons rester unis. Les enjeux sont trop élevés et les chances (de voir un démocrate élu en novembre) trop importantes" pour se diviser, a ajouté Mme Thurman.

Dans un permier temps, le parti démocrate de Floride avait proposé une nouvelle élection primaire le 3 juin. Le coût de cette consultation se serait élevé entre 10 et 12 millions de dollars.

Avec le Michigan, la Floride, 4e Etat le plus peuplé des Etats-Unis et Etat clé dans la course à la Maison Blanche, est accusée d'avoir violé les règles du parti en avançant la date de ses primaires en janvier. Hillary Clinton avait remporté les deux scrutins face au sénateur de l'Illinois Barack Obama et à John Edwards qui s'est depuis retiré de la course.

Pour l'emporter, un candidat a besoin d'au moins 2.025 des 4.049 délégués qui siègeront à la Convention démocrate de Denver, qui doit désigner formellement à la fin du mois d'août le candidat du parti à la Maison Blanche.

Barack Obama dispose actuellement de 1.628 délégués et Hillary Clinton 1.493, selon Realclearpolitics.
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Messagepar Modou Mbacke » Mar Avr 01, 2008 2:42 am

[align=center]Primaires démocrates: Barack Obama devance Hillary Clinton en nombre de délégués dans le Texas[/align]


WASHINGTON - Barack Obama a remporté le plus grand nombre de délégués au Texas, grâce à une importante participation lors de conventions locales ce week-end, destinées à allouer neuf délégués restants du caucus dans cet Etat.
(Publicité)

Le sénateur de l'Illinois a remporté sept de ces neuf candidats qui n'avaient pas été alloués lors des caucus du 4 mars dernier, lui permettant de totaliser 99 délégués texans, contre 94 pour sa rivale Hillary Clinton, selon un décompte réalisé par l'Associated Press.

Le Parti démocrate du Texas dispose d'un système extrêmement compliqué, où primaire et caucus sont mêlés. Lors des consultations du 4 mars dernier, Hillary Clinton avait remporté la primaire avec 65 délégués contre 61 pour M. Obama. En revanche, M. Obama a donc devancé Mme Clinton dans le caucus avec 38 délégués contre 29.

Ces chiffres sont cependant susceptibles d'évoluer si les deux candidats ne maintiennent pas le degré de soutien constaté lors des quelques 280 conventions locales au Texas samedi. Effectivement, elle devaient désigner environ 7.300 délégués pour la convention du Parti démocrate du Texas au mois de juin, où l'allocation finale des délégués nationaux sera décidée.

Ces délégués nationaux voteront ensuite à la convention nationale du parti en août pour choisir le candidat démocrate pour la présidentielle américaine qui aura lieu, elle, en novembre.

M. Obama devance désormais sa rivale en nombre de délégués nationaux avec 1.631 contre 1.501. Le gagnant de l'investiture devra obtenir le soutien de 2.024 délégués. AP
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Re: L'Amerique est-elle prête pour avoir un président noir comme Barack Hussein Obama?

Messagepar Mamadou Doucouré » Dim Avr 06, 2008 6:34 pm

ANALYSE
Cela avait commencé par des doutes, s’était poursuivi par de l’irritation, et culmine maintenant avec une profonde inquiétude : les démocrates commencent sérieusement à craindre un échec à la présidentielle face à John McCain. Chez les démocrates, qui s’étaient largement ralliés à l’ex-Première dame au début de la campagne, c’est aujourd’hui à Hillary Clinton qu’on fait porter le chapeau du trouble-fête. Même si ce week-end, son challenger Barak Obama a refusé de se joindre à ceux qui réclament sa mise hors course. « La sénatrice Clinton peut rester dans la course aussi longtemps qu’elle le souhaite », a-t-il assuré en Pennsylvanie.

Arithmétiquement, tous les calculs indiquent que la sénatrice de New York n’est plus à même de rattraper son retard sur Obama d’ici la convention démocrate de Denver, fin août, que ce soit en termes de délégués ou de suffrages exprimés. Autrement dit, tout le monde est aujourd’hui convaincu que le sénateur métis finira la course en tête.
Ce sera dès lors aux super-délégués – élus et dirigeants du parti – qu’il incombera de faire la différence. Mais alors que Hillary Clinton avait longtemps bénéficié du soutien, affiché ou tacite, de cet establishment, une majorité d’entre eux pense aujourd’hui qu’il serait difficilement imaginable de renverser la tendance des votes exprimés lors des primaires, en accordant la nomination à l’ex-First Lady.

En exprimant publiquement cette opinion cette semaine, Nancy Pelosi, la présidente démocrate de la Chambre, a déclenché une réponse cinglante d’un groupe de donateurs d’Hillary Clinton. Et dans un entretien au magazine Time, la principale intéressée venait elle-même de confirmer le scénario qui commence à faire trembler le parti démocrate : c’est qu’elle est déterminée à aller au bout de son combat, balayant le reproche qu’elle cause du tort au parti, voire à son prochain candidat à la présidence, en s’obstinant à rester dans la course… Et de rappeler, comme brandissant un talisman, que son mari « n’avait assuré sa nomination qu’au mois de juin (en 1991), alors qu’il était à la traîne dans les sondages derrière le président Bush (père) et (le candidat indépendant) Ross Perot », avant de remporter la présidentielle en janvier 1992.

La « sérénité sondagière » recommandée par Clinton n’est pas innocente : l’establishment démocrate, pour lequel l’enjeu réside non seulement dans la présidentielle, mais aussi dans le renouvellement d’un tiers du Sénat, a les yeux rivés sur les sondages. Or ceux-ci indiquent clairement que la prolongation de la compétition démocrate et l’acrimonie qui l’accompagne commencent à peser au profit du candidat républicain : celui-ci a récemment bondi d’une dizaine de points dans les enquêtes nationales, et s’il était donné perdant face aux deux prétendants démocrates, il est maintenant annoncé gagnant face à Hillary Clinton, et seulement légèrement battu par Barack Obama.

Quant aux commentateurs, qui font le vent de l’opinion autant qu’ils l’accompagnent, ils multiplient les analyses annonçant le risque d’un échec démocrate, rappelant par exemple que parmi les dix derniers présidents, neuf avaient assuré leur nomination avant leur opposant.

Pendant que Clinton et Obama s’entre-déchirent, McCain, qui revient d’une tournée mondiale et vient de présenter sa politique étrangère, peaufine tranquillement sa stature de futur président…
Selon les estimations, explique David Brooks, un commentateur vedette du New York Times, il reste à Hillary Clinton 10 voire 5 % de chances de s’assurerANALYSE

Cela avait commencé par des doutes, s’était poursuivi par de l’irritation, et culmine maintenant avec une profonde inquiétude : les démocrates commencent sérieusement à craindre un échec à la présidentielle face à John McCain. Chez les démocrates, qui s’étaient largement ralliés à l’ex-Première dame au début de la campagne, c’est aujourd’hui à Hillary Clinton qu’on fait porter le chapeau du trouble-fête. Même si ce week-end, son challenger Barak Obama a refusé de se joindre à ceux qui réclament sa mise hors course. « La sénatrice Clinton peut rester dans la course aussi longtemps qu’elle le souhaite », a-t-il assuré en Pennsylvanie.

Arithmétiquement, tous les calculs indiquent que la sénatrice de New York n’est plus à même de rattraper son retard sur Obama d’ici la convention démocrate de Denver, fin août, que ce soit en termes de délégués ou de suffrages exprimés. Autrement dit, tout le monde est aujourd’hui convaincu que le sénateur métis finira la course en tête.
Ce sera dès lors aux super-délégués – élus et dirigeants du parti – qu’il incombera de faire la différence. Mais alors que Hillary Clinton avait longtemps bénéficié du soutien, affiché ou tacite, de cet establishment, une majorité d’entre eux pense aujourd’hui qu’il serait difficilement imaginable de renverser la tendance des votes exprimés lors des primaires, en accordant la nomination à l’ex-First Lady.

En exprimant publiquement cette opinion cette semaine, Nancy Pelosi, la présidente démocrate de la Chambre, a déclenché une réponse cinglante d’un groupe de donateurs d’Hillary Clinton. Et dans un entretien au magazine Time, la principale intéressée venait elle-même de confirmer le scénario qui commence à faire trembler le parti démocrate : c’est qu’elle est déterminée à aller au bout de son combat, balayant le reproche qu’elle cause du tort au parti, voire à son prochain candidat à la présidence, en s’obstinant à rester dans la course… Et de rappeler, comme brandissant un talisman, que son mari « n’avait assuré sa nomination qu’au mois de juin (en 1991), alors qu’il était à la traîne dans les sondages derrière le président Bush (père) et (le candidat indépendant) Ross Perot », avant de remporter la présidentielle en janvier 1992.

La « sérénité sondagière » recommandée par Clinton n’est pas innocente : l’establishment démocrate, pour lequel l’enjeu réside non seulement dans la présidentielle, mais aussi dans le renouvellement d’un tiers du Sénat, a les yeux rivés sur les sondages. Or ceux-ci indiquent clairement que la prolongation de la compétition démocrate et l’acrimonie qui l’accompagne commencent à peser au profit du candidat républicain : celui-ci a récemment bondi d’une dizaine de points dans les enquêtes nationales, et s’il était donné perdant face aux deux prétendants démocrates, il est maintenant annoncé gagnant face à Hillary Clinton, et seulement légèrement battu par Barack Obama.

Quant aux commentateurs, qui font le vent de l’opinion autant qu’ils l’accompagnent, ils multiplient les analyses annonçant le risque d’un échec démocrate, rappelant par exemple que parmi les dix derniers présidents, neuf avaient assuré leur nomination avant leur opposant.
Pendant que Clinton et Obama s’entre-déchirent, McCain, qui revient d’une tournée mondiale et vient de présenter sa politique étrangère, peaufine tranquillement sa stature de futur président…

Selon les estimations, explique David Brooks, un commentateur vedette du New York Times, il reste à Hillary Clinton 10 voire 5 % de chances de s’assurer la nomination démocrate. « Pendant trois mois, elle est prête à taper sur Obama plutôt que de taper sur McCain. Et tout cela pour préserver ces 5 % de chances », assène, effaré, le commentateur.

En adoptant cette attitude, l’épouse de l’ancien président renoue ou, selon ses pires ennemis, perpétue un trait de caractère communément prêté aux Clinton : une ambition cynique, implacable, qui ne s’encombre d’aucun scrupule. Et de rappeler que, à la fin du mandat de Bill, les Clinton avaient consacré beaucoup plus d’efforts à assurer l’élection de Hillary comme sénatrice de New York, qu’à l’élection, ratée comme on sait, d’Al Gore à la présidence.
Et commence à circuler dans les milieux politiques une hypothèse diabolique : se sachant déjà perdante face à Barack Obama, Hillary Clinton commencerait tout simplement à miser sur une victoire de John McCain. Car l’ex-Première dame n’aurait, à la fin d’un mandat éventuel de McCain, « que » 65 ans : soit un âge tout à fait honorable pour retenter une course présidentielle.
Et s’il est un autre trait de caractère qu’amis comme ennemis prêtent à Hillary Clinton, outre l’ambition, c’est bien la persévérance. la nomination démocrate. « Pendant trois mois, elle est prête à taper sur Obama plutôt que de taper sur McCain. Et tout cela pour préserver ces 5 % de chances », assène, effaré, le commentateur.
En adoptant cette attitude, l’épouse de l’ancien président renoue ou, selon ses pires ennemis, perpétue un trait de caractère communément prêté aux Clinton : une ambition cynique, implacable, qui ne s’encombre d’aucun scrupule. Et de rappeler que, à la fin du mandat de Bill, les Clinton avaient consacré beaucoup plus d’efforts à assurer l’élection de Hillary comme sénatrice de New York, qu’à l’élection, ratée comme on sait, d’Al Gore à la présidence.
Et commence à circuler dans les milieux politiques une hypothèse diabolique : se sachant déjà perdante face à Barack Obama, Hillary Clinton commencerait tout simplement à miser sur une victoire de John McCain. Car l’ex-Première dame n’aurait, à la fin d’un mandat éventuel de McCain, « que » 65 ans : soit un âge tout à fait honorable pour retenter une course présidentielle.
Et s’il est un autre trait de caractère qu’amis comme ennemis prêtent à Hillary Clinton, outre l’ambition, c’est bien la persévérance.
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Re: L'Amerique est-elle prête pour avoir un président noir comme Barack Hussein Obama?

Messagepar Rama Yade » Lun Avr 07, 2008 12:06 am

Les bonnes nouvelles se multiplient pour Barack Obama face à Hillary Clinton
Les bonnes nouvelles se multiplient pour le sénateur de l'Illinois Barack Obama, candidat noir américain à l'investiture du Parti démocrate en vue de la prochaine présidentielle américaine et qu'une rude bataille oppose à Hillary Clinton, sénatrice de New York et épouse de l'ex-président Bill Clinton, selon des informations rapportées par les médias américains et internationaux et parvenues à Ouestafnews.

Ainsi, plus de 76 % des américains se disent désormais prêts à être dirigés par un noir, selon un sondage réalisé par la chaine de télévision CNN et cité par l'agence Xinhua (chinoise) et daté du 3 avril, à la veille même de la célébration de l'anniversaire de l'assassinat d'un autre célèbre noir américain, Marin Luther King.
Ce chiffre, qui représente une progression de 14 point par rapport à décembre 2006, et en grande partie due à l'effet Obama, selon les mêmes sources.
Par ailleurs, un décompte effectué par Associated Press (AP, agence américaine) et cité par plusieurs journaux montre que désormais Hillary Clinton compte seulement 30 "super délégués" de plus qu'Obama.
Les "super-délégués" sont ces grands électeurs qui peuvent le jour de l'investiture voter pour le candidat de leur choix, quel que soit par ailleurs le résultat du choix des électeurs de base ayant participé aux primaires dans leur état.
En décembre cet écart était de 106 en faveur de Mme Clinton, puis de 87 en février.
Pour ce qui est du compte total de délégués, c'est Barack Obama qui mène la course avec 1634 délégués contre 1500 pour sa rivale, selon AP.
Il faut un total de 2024 délégués pour remporter la nomination du Parti.
Enfin, les médias américains ont révélé qu'en mars Barack Obama a pu lever 40 millions de dollars pour sa campagne contre seulement 20 millions pour Hillary.
Pour Obama, qui des racines kenyanes, le tout est couronné par un nombre important de pontes du Parti démocrate qui rallie chaque jour sa cause, parfois après avoir battu campagne au départ pour Hillary.

http://www.ouestaf.com/Les-bonnes-nouve ... a1701.html
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« Pourquoi me ferais-je enterrer seule dans un cimetière des Hauts-de-Seine ? ». Ces propos sont signés de Rama Yade, secrétaire d’Etat chargée des affaires étrangères et des droits de l’homme en France. Rama Yade fait part de tout son écartellement entre deux cultures, deux pays, la France et le Sénégal.
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Re: L'Amerique est-elle prête pour avoir un président noir comme Barack Hussein Obama?

Messagepar doudou » Mar Avr 15, 2008 8:02 am

Obama répond aux critiques de Clinton en Pennsylvanie


STEELTON, Pennsylvanie (Reuters) - Le démocrate Barack Obama a accusé dimanche ses rivaux dans la course à la présidence américaine d'avoir joué sur ses mots à des fins politiques, en le qualifiant d'élitiste sur l'"Américain moyen".


"Je suis le premier à reconnaître que certains des mots que j'avais choisis étaient mal choisis", a dit le sénateur de l'Illinois à des sidérurgistes, en Pennsylvanie, où ont lieu dans huit jours, le 22 avril, les prochaines primaires.

"Ils (ces mots) pouvaient être mal interprétés. Ils étaient à même d'être déformés. Et je le regrette, je le regrette profondément".

Mais, a-t-il ajouté, "Il semble que certains ont fait là de la politique politicienne".

Les propos au coeur de la polémique ont été tenus par le sénateur de l'Illinois le week-end dernier lors d'une réunion de collecte de fonds à San Francisco. La presse n'était pas conviée à cette rencontre mais une vidéo pirate y a été réalisée puis diffusée.

"Vous allez dans certaines petites villes de Pennsylvanie où, comme dans beaucoup de petites villes du Middle West, les emplois ont disparu depuis maintenant 25 ans et n'ont été remplacés par rien d'autre", avait déclaré Obama.

"Et il n'est pas surprenant qu'ils deviennent pleins d'amertume, qu'ils s'accrochent aux armes à feu ou à la religion, ou à leur antipathie pour ceux qui ne sont pas comme eux, ou encore à un sentiment d'hostilité envers les immigrants", ajoutait-il.

POUR CLINTON, OBAMA "MÉPRISE" LES ÉLECTEURS

Hillary Clinton s'est rendue dimanche dans un quartier ouvrier de Scranton, une ville de Pennsylvanie où elle a de nouveau critiqué les propos d'Obama.

La sénatrice démocrate de New York a passé quelque temps, enfant, dans cette ville et son père est enterré non loin de là. Une occasion pour elle de dire son attachement aux classes moyennes face à l"élitisme" supposé de son concurrent dans la course à l'investiture démocrate pour la présidentielle du 4 novembre.

"Le sénateur Obama n'a pas reconnu son erreur après ce qu'il a dit et n'a pas fait amende honorable. Les gens réclament une explication", a dit Hillary Clinton, repartant à la charge contre son rival.

"Nous avons dû travailler dur pour faire comprendre qu'il y a des millions de démocrates qui vont à l'église ou qui possèdent des armes et c'est vraiment fatigant de voir certains des nôtres fournir ainsi des munitions à nos adversaires républicains", a-t-elle ajouté en visant Obama.

"Le résultat, c'est que les républicains tirent parti de cette situation."

Pour Hillary Clinton, ces propos montrent qu'Obama "méprise" les électeurs de Pennsylvanie.

Dans le camp républicain, un collaborateur de John McCain a dit que les déclarations d'Obama "témoignent d'un élitisme et d'une condescendance envers les Américains qui travaillent dur".
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Re: L'Amerique est-elle prête pour avoir un président noir comme Barack Hussein Obama?

Messagepar Dado » Jeu Mai 01, 2008 8:04 pm

pourvu que Obama ne soit pas victime d'un complot.
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Re: L'Amerique est-elle prête pour avoir un président noir comme Barack Hussein Obama?

Messagepar Sokhnassi » Sam Mai 10, 2008 10:27 pm

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Une entente entre Obama et Clinton ?

Barack Obama et Hillary Clinton sont peut-être en train de négocier, par l’entremise d’émissaires, une entente afin de mettre un terme à la course à l’investiture démocrate. La sénatrice de New York demanderait trois choses en retour de son retrait : qu’on l’aide à acquitter les dettes de sa campagne; qu’on lui assure un rôle majeur à l’occasion de la convention démocrate de Denver; et qu’on lui permette de parrainer au Sénat une réforme du système de santé qui aurait l’appui du président Obama.

P.S. : Obama n’a pas exclu aujourd’hui la possibilité d’aider sa rivale à éponger le déficit financier de sa campagne, selon cet article.

P.P.S. : Après ABC News, C’est au tour du New York Times de donner l’avance à Obama sur Clinton au chapitre des superdélégués. Le sénateur de l’Illinois a reçu l’appui de sept superdélégués aujourd’hui.

http://www.nytimes.com/2008/05/10/us/po ... ref=slogin
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Re: L'Amerique est-elle prête pour avoir un président noir comme Barack Hussein Obama?

Messagepar ibou » Mer Mai 14, 2008 10:48 pm

Aux States, tout est possible. Tout le monde voyait Bush perdant en 2004 et il a été ré-élu!!

Donc pourquoi pas une victoire d'Obama cette année.

Mais le gros problème sera de rallier à sa cause les électeurs d'Hillary Clinton (qui seraient tentés de s'abstenir).

Même si elle se joint à lui dans la course à la présidentielle, ses critiques envers lui auront marqué une partie de l'électorat américain.
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Re: L'Amerique est-elle prête pour avoir un président noir comme Barack Hussein Obama?

Messagepar Modou Mbacke » Mer Mai 14, 2008 11:32 pm

ibou a écrit:Aux States, tout est possible. Tout le monde voyait Bush perdant en 2004 et il a été ré-élu!!

Donc pourquoi pas une victoire d'Obama cette année.

Mais le gros problème sera de rallier à sa cause les électeurs d'Hillary Clinton (qui seraient tentés de s'abstenir).

Même si elle se joint à lui dans la course à la présidentielle, ses critiques envers lui auront marqué une partie de l'électorat américain.

je suis de plus en plus persuadé que obama a ses chances. le clan Clinton ont intégré depuis quelques temps
la défaite. en ce moment ils se battent pour finir en beauté et contraindre Obama à s'allier avec Hilary car Obama
a besoin du vote blanc (classe ouvriere et moyenne) pour battre Mc Cain.
tout ce cirque est de mettre Hilary en bonne position pour négocier avec Obama pour un futur ticket Obama-Clinton.
l'autre contrepartie que reclamerait Clinton est que Obama l'aide à éponger ses dettes colossales de campagne .
elle est en train de monayer son soutien.
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